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Doctolib, Maiia… à peine plus d’un tiers des médecins généralistes utilisent ces plateformes

d3sign / Getty Images

Ne pas se fier à l’effet de masse sur le web. Si les plateformes de prise de rendez-vous en ligne comme Doctolib, Maiia ou Keldoc ont connu un nouvel essor durant la crise sanitaire, les médecins généralistes sont loin d’être nombreux à s’en servir. Une étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), publiée ce mercredi 26 octobre, révèle qu’à peine 36% des médecins généralistes utilisent ces outils. Plus d’un tiers (33%) passent encore par la prise de rendez-vous sur place, en cabinet uniquement.

Si ces données peuvent surprendre, le recours aux outils de prise de rendez-vous en ligne a quand même progressé depuis la crise du Covid. En 2019, en effet, seulement 23% des médecins généralistes permettaient à leurs patients de choisir leur créneau de consultation sur les plateformes. Soit un gain de 13 points en trois ans.

“Ces solutions sont plébiscitées par les plus jeunes : 48 % des généralistes de moins de 50 ans indiquent avoir recours à un outil de ce type (contre 38 % des 50-59 ans, et 26 % des 60 ans ou plus)”, souligne la Drees. Le mode d’exercice influence aussi le taux d’utilisation des plateformes comme Doctolib ou Keldoc par les docteurs. Les médecins généralistes qui exercent dans des structures pluriprofessionnelles sont logiquement plus nombreux (47%) que ceux qui soignent leurs patients en cabinet monoprofessionnel (32%) et leurs confrères qui exercent seuls (24%).

Un usage dopé par les téléconsultations

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