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Les derniers instants du Grêlé après 27 ans de traque

Jusqu'à sa mort, François Vérove, plus connu sous le nom du Grêlé, a caché à son épouse et à ses proches son passé de tueur glaçant et méthodique (image d'illustration).

Voyant l'étau se resserrer autour de lui, François Vérove a continué, jusque dans ses dernières heures, à cacher son passé à ses proches, révèle « Le Parisien ».

Malgré ses multiples visages, François Vérove est parvenu à garder ses secrets jusqu'aux derniers instants de sa vie. Comme le souligne Le Parisien, celui qui a été reconnu comme étant le tueur en série de l'affaire du « Grêlé », soupçonné de quatre meurtres et six viols entre les années 1980 et 1990, a mis en scène son départ sans en faire part à ses proches. Prétextant devoir accueillir des locataires dans le studio que cet ancien policier et gendarme et sa femme louent sur Airbnb, il a mis fin à ses jours le 27 septembre dernier, après avoir ingurgité une grande quantité de médicaments, dans un appartement situé au Grau-du-Roi.

« Il m'a dit "Bisous, au revoir, chérie" », se remémore son épouse, avec laquelle il est marié depuis 1985 et a eu deux enfants, assurant également qu'il était « comme d'habitude » au moment de son départ du domicile familial à La Grande-Motte, en fin d'après-midi. Sans nouvelles de lui aux alentours de 19h30, elle décide de le contacter, mais ses appels restent sans réponse. Ce n'est que deux jours plus tard, le 29 septembre, qu'elle découvre que les agissements macabres du passé de son mari. « J'ai le ciel qui me tombe sur la tête », confie-t-elle aux enquêteurs, assurant n'avoir eu aucun soupçon à son égard.

Le comportement de François Vérove durant ses derniers jours est particulièrement troublant, souligne Le Parisien, car il était conscient depuis le 24 septembre que l'appareil judiciaire se resserrait autour de lui. Ce jour [...]

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VIDÉO - L'affaire Michel Fourniret, l'ogre des Ardennes