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Dès la rentrée, les étudiantes de l’université de Montpellier auront droit à des «congés menstruels»

Xavier Lorenzo

«C'est pas trop tôt, ça fait des années qu'on le demande», se réjouit Emma, étudiante en L1, au micro de France 3 Occitanie. À partir de la rentrée prochaine, les étudiantes souffrant de règles douloureuses auront droit à des jours de repos sans justificatif nécessaire, jours d’examen compris, grâce au Syndicat de combat universitaire de Montpellier (SCUM). Une excellente nouvelle pour ces jeunes femmes qui, jusque-là, étaient pénalisées en cas d’absence injustifiée : perte de point sur leur moyenne, un zéro si elles n’étaient pas présentes à un examen, voire même une perte de leur bourse si leur absence était signalée au CROUS.

Alors, à l’annonce de ce nouveau dispositif, les étudiantes n’ont pu que se réjouir. «Bien souvent, on n’est pas prises au sérieux. On nous rétorque qu'on est des chochottes ou qu'on a la flemme d'aller en sport», déplore Serena, étudiante en L1. Et de poursuivre : «Aujourd’hui, on est plus reconnues et plus écoutées !»

Ce qui ravit davantage les étudiantes, c’est la fin du certificat d’absence obligatoire. Car bien souvent, et surtout dans ces temps où l'on est confrontés aux déserts médicaux, il n’est pas rare de ne pas pouvoir avoir de rendez-vous chez le médecin pour obtenir un arrêt. Pire, bien souvent, aux yeux des médecins, les règles douloureuses ne constituent pas un motif valable pour être dispensée de cours, sauf pour les femmes diagnostiquées de l'endométriose. Pourtant, Victoria l'assure : «Tenir sur une chaise avec l'impression qu'on nous (...)

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