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Déconfinement : comment l’Etat compte gérer la levée des aides aux entreprises

L’équilibre apparait périlleux à trouver : soutenir encore les entreprises pour sécuriser la reprise. Mais pas trop non plus pour ne pas continuer à creuser le déficit public. C’est pour identifier les bons curseurs que Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, Elisabeth Borne, son homologue au Travail, et Alain Griset, en charge des PME, ont échangé durant deux heures ce jeudi matin avec les partenaires sociaux. Medef et CPME ont rappelé la nécessité de ne pas couper net les amortisseurs sociaux afin d’éviter des faillites en cascade alors que leur nombre reste inférieur à l’année dernière. C’est ce que le gouvernement surnomme "le dernier kilomètre de l’accompagnement", cette ultime étape avant disparition totale des filets de sécurité.

"Nous sommes guidés par deux principes essentiels : la progressivité et la lisibilité", indique Bruno Le Maire qui a rappelé en début de visioconférence la bonne résistance de l’économie française. Quatre dispositifs de soutien vont donc connaître des aménagements au fur et à mesure de la levée des restrictions sanitaires : le prêt garanti par l’Etat (PGE), les exonérations de charges sociales, le fonds de solidarité et le chômage partiel.

La prise en charge de l’Etat du chômage partiel sera progressivement réduite

Les délais de souscription à un PGE, qui devait disparaitre le 30 juin, sont ainsi allongés jusqu’au 31 décembre prochain. Les crédits octroyés permettront aux entreprises qui le souhaitent de régler les dettes contractées auprès d...


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