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Bourse : CAC 40, Hermès, Engie, Apple, Amazon, Tesla, Google, Eurofins… au programme de Momentum cette semaine

Fred De Noyelle /GODONG/Getty Images

Inflation record, hausse des taux, guerre en Ukraine, crise de l'énergie (pétrole, gaz…)... l'année 2022 restera dans les annales des investisseurs en actions pour son caractère exceptionnel. En effet, cette année a été l’une des pires, pour un investisseur investi à la fois en actions et en obligations, depuis plus d’un siècle ! “Sur les cent dernières années, seules trois (1931, 1969 et désormais 2022) ont enregistré des performances négatives à la fois sur les marchés obligations et les marchés actions”, relève à cet égard Lombard Odier.

Alors que la persistance et les répercussions des pressions inflationnistes ont été “plus sévères que la banque suisse ne l’escomptait”, les taux d'intérêt “seront probablement amenés à grimper jusqu'à 5% en 2023 aux Etats-Unis, la Réserve fédérale américaine (Fed) faisant basculer l'économie du pays en récession en affaiblissant les marchés du logement et de l'emploi afin de faire baisser les prix”, souligne-t-elle, ce qui devrait ramener l'inflation aux Etats-Unis “aux alentours de 3%, voire un peu moins, d'ici un an”.

Si l'économie américaine “semble être sur la bonne voie, la trajectoire de l'Europe reste quant à elle plus incertaine”, avertit toutefois Lombard Odier. L'ampleur de la guerre en Ukraine “était difficile à prédire”, selon la banque, et la crise énergétique qui a ensuite submergé l'Europe s'est avérée “douloureuse pour l'économie et les consommateurs”. Ce qui est positif, c’est que, sur le long terme, elle permet aussi d'espérer (...)

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