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Au tribunal de Lille, Redoine Faïd accuse un responsable de FO-Pénitentiaire de diffamation

© Sipa

C'est un petit événement au sein du tribunal judiciaire de Lille. Redoine Faïd, l'un des détenus les plus surveillés de France, incarcéré dans la très sécurisée maison centrale de Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais), comparaît ce mardi, en visioconférence, dans un procès pour diffamation. Pour la première fois, le braqueur est partie civile. Il accuse Yoan Karar, l'une des têtes du syndicat FO-Pénitentiaire, d'avoir tenu des propos diffamatoires à son encontre, lors d'une émission diffusée sur CNews le 29 octobre 2019.

Le surveillant syndicaliste était l'un des invités de "Police-justice info", à la suite de la parution de l'interview de Redoine Faïd dans le JDD, trois jours auparavant. Yoan Karar y a déclaré que le détenu avait "tué une maman" en 2010, évoquant le vol à main armée de Villiers-sur-Marne, lors duquel la policière municipale Aurélie Fouquet avait été la cible de tirs de kalachnikov. Mais Redoine Faïd l'a affirmé dans sa plainte, il n'a "jamais été condamné, ni même renvoyé aux assises pour la mort d'Aurélie Fouquet". Dans cette affaire où il clame son innocence, il a été condamné en appel à 25 ans de réclusion criminelle pour avoir organisé le braquage, donc pour "association de malfaiteurs". Un recours a été déposé devant la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH).

Yoan Karar plaide la "bonne foi"

"Je n'ai pas de sang sur les mains, écrit-il dans sa saisine du juge d'instruction. Mais s'il me reste peu de choses, il me reste cela ; mon honneur." Sur l'écran ...


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