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Au Royaume-Uni, des milliers de "microtravailleurs" du net payés moins de 5 euros de l'heure

Identifier ou sous-titrer des images, saisir des données, cliquer sur des publicités pour augmenter artificiellement le trafic... Ils effectuent des tâches numériques simples pour un salaire dérisoire : les "microtravailleurs" britanniques ont fait l'objet d'une enquête dont les résultats ont été relayés par The Guardian, le samedi 25 juin. Des milliers de ces travailleurs en ligne seraient payés, au noir, bien en dessous du salaire minimum en vigueur au Royaume-Uni. Le think tank Autonomy et des chercheurs de l'université d'Exeter et de la London School of Economics ont enquêté auprès de 1.189 forçats du clic basés outre-Manche. Les deux tiers d'entre eux gagneraient moins de 4 £ de l'heure, soit moins de cinq euros.

Le secteur se serait particulièrement développé pendant la pandémie, de nombreux Britanniques étant contraints de travailler à domicile. 36% des personnes interrogées ont ainsi déclaré avoir commencé le micro-travail pendant la crise sanitaire. Rémunérés à la micro-tâche souvent répétitive et à faible valeur ajoutée, ces ouvriers invisibles de la Toile seraient 95% à gagner moins que le salaire minimum en vigueur. Ceux payés à l'heure ne seraient pas mieux lotis. Le Royaume-Uni en compterait des millions, relate le Guardian. La majorité serait originaire de l'Inde, du Kenya et du Venezuela, mais avec la crise, de nombreux Britanniques rejoindraient les rangs de cette masse invisible et sous-payée. Interrogé par le quotidien britannique, Will Stronge, directeur de (...)

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