Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 167,50
    -20,99 (-0,26 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 064,14
    -8,31 (-0,16 %)
     
  • Dow Jones

    40 003,59
    +134,21 (+0,34 %)
     
  • EUR/USD

    1,0872
    +0,0002 (+0,02 %)
     
  • Gold future

    2 419,80
    +34,30 (+1,44 %)
     
  • Bitcoin EUR

    61 728,20
    +232,40 (+0,38 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 371,12
    -2,72 (-0,20 %)
     
  • Pétrole WTI

    80,00
    +0,77 (+0,97 %)
     
  • DAX

    18 704,42
    -34,39 (-0,18 %)
     
  • FTSE 100

    8 420,26
    -18,39 (-0,22 %)
     
  • Nasdaq

    16 685,97
    -12,35 (-0,07 %)
     
  • S&P 500

    5 303,27
    +6,17 (+0,12 %)
     
  • Nikkei 225

    38 787,38
    -132,88 (-0,34 %)
     
  • HANG SENG

    19 553,61
    +177,08 (+0,91 %)
     
  • GBP/USD

    1,2706
    +0,0035 (+0,28 %)
     

« On attend toujours d’être indemnisé » : la galère des entreprises victimes de rançongiciel

Le nombre d’entreprises touché par ce type d’attaque explose depuis deux ans, et le fait d’être assuré ne garantit pas d’être indemnisé.

Tout comme les dégâts des eaux ou un cambriolage, les cyberattaques font partie des aléas contre lesquels une entreprise doit se tenir prête. Parmi les outils favoris des hackers, il y a le rançongiciel, un logiciel malveillant destiné à prendre otage des données sensibles. Pour espérer revoir ses précieux dossiers, les escrocs exigent une somme d’argent à la victime.

Ce type de malware fait l’effet d’une épidémie dans le paysage informatique : 73 % des entreprises et des institutions françaises déclarent avoir été visés par des rançongiciels en 2021, contre 43 % en 2020, selon un rapport de la société Sophos.

PUBLICITÉ

Naturellement, les entreprises et organisations anticipent désormais ce type d’attaque en souscrivant à un contrat d’assurance, néanmoins les petites entités sont nettement plus susceptibles de tout perdre lors d’une attaque, puisque seulement une entreprise de moins de 250 salariés sur dix dispose de ce type de contrat.

Maintenant, être assuré ne signifie pas être obligatoirement remboursé. Généralement ce sont les coûts de nettoyage des dégâts qui sont pris en charge par les compagnies. Quant au paiement de la rançon, le sujet fait débat. 40 % des entreprises touchées en 2021 ont déclaré que l’assureur avait remboursé la rançon.

Pour une entreprise le paiement de la rançon est souvent le choix de la facilité : éviter de tout perdre sans avoir à remplacer les systèmes informatiques dans la foulée.

[Lire la suite]

Abonnez-vous aux newsletters Numerama pour recevoir l’essentiel de l’actualité https://www.numerama.com/newsletter/