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En arrêt de travail, l'assistante maternelle aurait abusé des "sorties autorisées"

Yann Avril/Adobe Stock

Arrêtée pendant sept mois après un accident de travail, une assistante maternelle a reçu une facture salée de l'Assurance maladie pour avoir abusé des "sorties autorisées", relate le Bien Public. Cette habitante de Montholier (Jura) était dans l'incapacité d'assurer son travail depuis une rupture du ligament partiel du pouce, en octobre 2021. Si dans un premier temps son médecin n'avait pas coché la case "sorties autorisées", il finit finalement par modifier ces restrictions.

L'assurée devait néanmoins "être présente à son domicile entre 9 et 11 heures et entre 14 et 16 heures". Puis lors du renouvellement de son arrêt, les restrictions horaires sont levées, jusqu'en avril 2022. L'assistante maternelle s'est donc autorisée quelques petites sorties pour amener ses chiens au dressage.

Ce que lui reproche la Sécurité sociale. "L’Assurance maladie m’a appelée pour me dire qu’ils avaient été sur le site du lieu de dressage et que c’était une activité non autorisée. Quelqu’un a dû leur dire. Je n’ai pas été contrôlée, j’ai seulement reçu un coup de fil", raconte celle qui exerce ce métier depuis 17 ans. Outre cet appel, c'est la lettre reçue dans la foulée, fin avril, lui réclamant 9.367 euros, qui va provoquer des sueurs froides à l'assistante maternelle.

"On m’a dit que j’avais le droit de sortir seulement pour faire mes courses et aller chez le médecin. Mais il ne m’a pas dit ça et ce n’était écrit nulle part. D’après eux, il aurait dû marquer tout ce que j’avais le droit de faire", (...)

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