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Aisne : un homme reconnaît le meurtre d’une lycéenne commis il y a 27 ans

L'ADN d'un homme prélevé pour une affaire de violences conjugales en région parisienne correspond à celui décelé sur la scène de crime il y a presque 30 ans.
L'ADN d'un homme prélevé pour une affaire de violences conjugales en région parisienne correspond à celui décelé sur la scène de crime il y a presque 30 ans.

L?homme interpellé mardi car son ADN, relevé dans une affaire de violences conjugales, correspond à celui retrouvé sur les lieux du meurtre d?une lycéenne en 1994 à Château-Thierry (Aisne) a reconnu être l?auteur de ce crime et a été mis en examen, a annoncé jeudi le parquet. « Interpellé le 30 novembre en Ille-et-Vilaine, où il travaille, l?individu a reconnu au cours de sa garde à vue qu?il était l?auteur de ce fait », a rapporté le procureur de la République de Soissons, Julien Morino-Ros, dans un communiqué de presse. « Présenté devant la magistrate instructrice, l?individu a fait des déclarations spontanées par lesquelles il a maintenu ses propos », ajoute le procureur.

Cet homme de 55 ans a été mis en examen et placé en détention provisoire. En mai 1994, le corps lacéré de coups de couteau de Nadège Desnoix, 17 ans, avait été découvert au bord d?un chemin à proximité du lycée technique où elle était élève en classe de première. L?adolescente n?avait pas subi de violences sexuelles, selon l?autopsie réalisée après les faits. Domiciliée à une quinzaine de kilomètres de son lycée, elle avait pris un car très tôt le matin pour se rendre en cours.

Plusieurs anciennes condamnations

À l?époque des faits, le mis en examen résidait en Seine-et-Marne, à une trentaine de kilomètres de Château-Thierry, souligne Julien Morino-Ros. Son profil génétique, récemment intégré au fichier national des empreintes génétiques à la suite d?une procédure pour violences conjugale [...] Lire la suite