Publicité
La bourse ferme dans 2 h 37 min
  • CAC 40

    8 063,83
    +47,18 (+0,59 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 984,46
    +45,45 (+0,92 %)
     
  • Dow Jones

    38 085,80
    -375,12 (-0,98 %)
     
  • EUR/USD

    1,0718
    -0,0015 (-0,14 %)
     
  • Gold future

    2 360,80
    +18,30 (+0,78 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 991,29
    +622,61 (+1,05 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 390,00
    -6,54 (-0,47 %)
     
  • Pétrole WTI

    84,23
    +0,66 (+0,79 %)
     
  • DAX

    18 089,97
    +172,69 (+0,96 %)
     
  • FTSE 100

    8 126,31
    +47,45 (+0,59 %)
     
  • Nasdaq

    15 611,76
    -100,99 (-0,64 %)
     
  • S&P 500

    5 048,42
    -23,21 (-0,46 %)
     
  • Nikkei 225

    37 934,76
    +306,28 (+0,81 %)
     
  • HANG SENG

    17 651,15
    +366,61 (+2,12 %)
     
  • GBP/USD

    1,2505
    -0,0006 (-0,05 %)
     

Airbus ne procédera pas à des « licenciements secs »

Un bâtiment d'Airbus, à Toulouse.
Un bâtiment d'Airbus, à Toulouse.

Pour le syndicat Force ouvrière (FO), « c'est une grande satisfaction ». Avec les autres syndicats et la direction d'Airbus, un accord dans le cadre du plan social sera signé lundi 12 octobre, dans l'après-midi. Et cet accord ne prévoir pas de « licenciements secs ». « On y arrivera fin mars par l'ouverture d'une dernière négociation qui nous permettra d'arriver au zéro licenciement contraint. On a un engagement de la direction en ce sens », fait savoir Dominique Delbouis, coordinateur FO, premier syndicat chez le constructeur aéronautique.

Après trois mois de négociations, les deux parties vont donc sceller un accord qui préserve 1 500 postes par le biais de l'activité partielle longue durée (APLD), avec des pertes de salaire limitées. D'autres mesures, comme les retraites anticipées (au moins 1 000), le dispositif Corac (Conseil pour la recherche aéronautique civile, 600 emplois), les départs pour création d'entreprise (400), les départs à la retraite (400), « tout ça mis à bout, on arrive à l'objectif initial de zéro départ contraint », a détaillé le syndicaliste. Au total, c'est 4 248 emplois qui étaient menacés chez Airbus avions, et plus de 700 chez Stelia et ATR, filiales de l'avionneur européen. « Pour nous, le plan social est presque bouclé », se réjouit Dominique Delbouis.

Lire aussi Covid-19 : les avions se parquent pour dormir

Perturbations dans l'aérien

En juin, Airbus avait annoncé la suppression de 15 000 postes de travail, dont 5 000 en France [...] Lire la suite