Air France, Safran, Airbus… ces entreprises qui recrutent au Salon du Bourget
“La parenthèse Covid pendant laquelle le secteur a détruit des emplois est en train de se fermer”, se réjouit Philippe Dujaric, directeur des affaires sociales et de la formation au sein du Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales (Gifas), le syndicat professionnel de la filière, qui compte plus de 440 entreprises adhérentes en France. Il faut dire qu’après le coup d’arrêt connu au plus fort de la crise sanitaire, l’activité a redécollé dans l’aéronautique et le spatial. Et ce, dès 2022.
Désormais, la filière est dans une situation “inédite” car elle doit mener de front deux batailles, selon Philippe Dujaric. D’abord, celle de la croissance du nombre de livraisons attendu avec, par exemple, la montée en cadence de la production de Rafale ou encore l’objectif d’Airbus, qui vient d’obtenir une commande record de la part de la compagnie indienne IndiGo, de livrer 720 avions cette année, soit près de 60 de plus qu’en 2022 (661 appareils ont été remis aux clients l’an dernier).
Ensuite, “il y a un enjeu important sur le plan technologique, avec un objectif très ambitieux - mais tenable - qu’on s’est fixé en matière de décarbonation”, poursuit l’expert. Ce qui conduit, logiquement, à “de nombreux investissements dans l’aviation du futur”, complète Paolo del Noce, senior vice president global sales d’Akkodis, un groupe d’ingénierie issu du rapprochement entre Akka Technologies et Modis et dont 35% de l’activité française est tournée vers l’industrie aérospatiale (...)
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