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Pour accéder à des programmes payants à moindre coût, ils n’hésitent pas à se tourner vers l’illégalité

vegefox.com/Adobe Stock

La piraterie numérique est en constante augmentation. Face à des tarifs d'abonnements élevés et morcelés, de plus en plus de téléspectateurs se tournent vers des moyens illégaux pour accéder à des contenus multimédias. Cela engendre une nouvelle génération d'escrocs numériques, attirés par la demande croissante et les profits potentiels, le tout avec relativement peu de risques en cas d'arrestation. Un exemple récent de cette tendance est le cas d'un résident de Nanterre, dans les Hauts-de-Seine, qui a comparu en justice pour «vente de moyens de captation frauduleuse de programmes télédiffusés et réservés à un public d'abonnés», rapporte Le Parisien, le 11 octobre 2023. Sa "marchandise" était la vente d'abonnements Canal+ à un prix défiant toute concurrence : 50 euros par an.

L'enquête menée par les policiers de la brigade de lutte contre la cybercriminalité a révélé que cet individu de 30 ans, sans antécédents judiciaires, avait exercé ses activités illégales entre octobre 2022 et septembre de cette année. Il aurait attiré plusieurs milliers de téléspectateurs grâce à son offre très concurrentielle, générant un bénéfice estimé à près de 30 000 euros. Sa méthode de fonctionnement consistait à vendre des accès à un réseau d'IPTV illégal via un site web.

L'IPTV, ou Internet Protocol Television, permet de regarder la télévision ou d'accéder à des contenus à la demande sur le Web à l'aide d'un décodeur pirate. Toutefois, le recours à cette technologie peut être légal ou illégal, en (...)

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