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106 milliards d'euros en 3 ans : le programme économique du Front populaire sous le feu des critiques

Javier Ghersi

Le programme économique des partis du Nouveau Front populaire fait couler de l’encre. Selon les chiffres de Valérie Rabault, ancienne vice-présidente de l’Assemblée nationale et responsable socialiste, le programme économique dévoilé par le Nouveau Front populaire représenterait 106 milliards d’euros de nouvelles dépenses, «sur la période 2024-2027». Dans les détails, l’ancienne rapporteure générale du Budget cite, dans Les Échos, la hausse des salaires (ainsi que celle des stagiaires) évaluée à 23 milliards d’euros ; la construction de 200 000 logements publics par an pour 10 milliards ; la garantie autonomie à 5 milliards d’euros.

Pour financer les mesures prévues, Valérie Rabault explique vouloir mettre en place «une vraie taxation des superprofits […]. L’impôt sur la fortune sera rétabli, avec un poids supérieur à celui d'avant 2017 pour financer la transition climatique». Problème : les déficits vont continuer de se creuser. «En se basant sur ces hypothèses, notre trajectoire budgétaire prévoit un déficit de 5,7% du PIB cette année (contre 5,1% en 2023), puis 5,4% en 2025 et 5,1% en 2026 avant d'atterrir à 3,6% en 2029».

«Certes, nous allongeons les délais pour le rétablissement des comptes publics, concède-t-elle auprès des Échos. Mais on ne peut pas m’accuser, ni François Hollande d’ailleurs, de ne pas être vigilant sur l’état des finances publiques. Il faut comprendre que l’urgence, c’est de relever l’économie française, et on le fera par une politique de l’offre de travail.» (...)

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