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PSA rassure les Britanniques sur le rachat d’Opel

Après l’Allemagne, Carlos Tavares était en mission à Londres afin de rassurer le gouvernement et les syndicats britanniques sur le sort des usines Vauxhall, petite sœur d’Opel. Tel est le quotidien du PDG du groupe PSA depuis l’annonce prématurée du rachat par le constructeur automobile français des marques européenne de General Motors : l’Allemand Opel et son pendant britannique Vauxhall, qui compte près de 5 000 salariés au Royaume-Uni. Carlos Tavares s’est engagé à ne pas fermer d’usine au Royaume-Uni et à développer la production des sites Vauxhall ce vendredi auprès du secrétaire général du principal syndicat du pays (Unite) Len McCluskey et du ministre britannique des Entreprises Greg Clark. Les deux hommes ont fait part de leur satisfaction. “La rencontre a été rassurante. Nous avons discuté de l’approche de PSA qui est de renforcer sa part de marché et d’augmenter la production plutôt que de fermer des usines“, a déclaré le ministre Greg Clark. Carlos Tavares “a donné des assurances selon lesquelles les engagements de production actuelle seraient respectés au cas où le rachat de PSA irait de l’avant“, a souligné le syndicaliste Len McCluskey. L’annonce prématurée du probable rachat d’Opel par PSA (ex-Peugeot Citroën) afin de créer un “champion européen de de l’automobile” suscite de l’inquiétude au Royaume-Uni mais aussi en France et d’avantage encore en Allemagne, où se sont employés la moitié des 38,000 salariés d’Opel. Devant les syndicats allemands, qu’il a rencontré lundi, le PDG s’est engagé à ne pas licencier chez Opel d’ici à 2018 et à investir jusqu’en 2020. “Les engagements pris par PSA sont importants à nos yeux“ avait déclaré Jörg Köhlinger, un responsable d’IG Metall, le syndicat allemand de la métallurgie.