La Minute de Marina Foïs
Carrière, vie amoureuse, anecdotes... Yahoo vous propose de parcourir, en images et en 1 minute, les moments forts de la vie de Marina Foïs !
Une nouvelle étude révèle, ce mardi, que les écoles américaines qui font respecter les mesures barrières n'ont pas constaté de propagation flamboyante du Covid-19 en leur sein.
La Haute assemblée examine ce mardi le projet de loi visant à réformer la justice pénale des mineurs. Une réforme « attendue » mais jugée précipitée tant sur le fond que sur la forme.
Ce mardi, plusieurs manifestations ont eu lieu partout en France à l'initiative d'une intersyndicale nationale pour demander globalement « plus de moyens » au gouvernement. Selon le ministère, 11% des enseignants ont fait grève. Entre 30 et 40% selon les syndicats. À Paris, plusieurs milliers d'entre eux ont manifesté aux côtés des infirmières scolaires, mais aussi des étudiants et lycéens. Un cortège hétéroclite aux revendications nombreuses. Leur malaise est profond, alors les enseignants sont descendus dans la rue. Blasés, s'estimant déconsidérés et pas du tout rassurés par les suppressions de postes annoncées la rentrée prochaine.Norman Gourier est professeur de français. « Ils sont épuisés moralement. Quand vous demandez aux collègues, bien sûr que les salaires ne sont pas bons, mais c'est pas leur première demande. Ils seraient prêts à travailler avec le salaire actuel s’ils avaient de bonnes conditions de travail. »► À lire aussi : Comment les enseignants s'adaptent-ils à leur métier «sous Covid»?Vêtues symboliquement de couvertures de survie, les infirmières scolaires étaient là également. Elles qui, dans le futur projet de réforme ne seront plus sous la tutelle de l'État mais des collectivités locales.Inacceptable pour Sylvie. La crise sanitaire fait déjà beaucoup de dégâts. « Il n’ y a eu aucune création de poste infirmier pour nous aider à faire du traçage des cas contact et maintenant on nous demande de fermer nos infirmeries pour réaliser des tests à grande échelle. SI on fait ça, on est plus à l'accueil des élèves. »Plusieurs centaines de lycéens et d'étudiants ont aussi fait partie du cortège. Les quelques mesures annoncées vendredi par Emmanuel Macron sont loin de les satisfaire. À l'image de Lucas, étudiant en histoire à la Sorbonne : « Ça serait dix fois plus simple si on nous écoutait, si on nous entendait. Nous maintenant, on est obligé de manifester, d'aller dans la rue. »Lucas et le cortège n'auront pas eu l'occasion d'aller montrer leur mécontentement jusque devant le ministère de l'Éducation, rue de Grenelle. Les forces de l'ordre ont arrêté le défilé quelques centaines de mètres avant.► À lire aussi : Covid-19: Emmanuel Macron répond à la détresse des étudiants français
Le chanteur a souhaité une procédure parlementaire dans l'espoir d'obtenir des preuves que le chef de l'État aurait sciemment empêché les Français de se soigner.
Sur le plateau de C à vous ce mardi 26 janvier, Stéphanie Bataille, la fille d’Étienne Draber, a fait part de sa colère de ne pas avoir pu dire au revoir à son père lorsqu’il était hospitalisé, avant qu’il ne rende son dernier souffle.
De passage sur le plateau de Touche Pas à Mon Poste ce mardi 26 janvier, Francis Lalanne a réitéré son appel, non à la démission, mais à la destitution d'Emmanuel Macron. Avant d'être recadré.
L’initiative a été lancée par une société japonaise "Odorate" alors que, selon le fondateur de l’entreprise, un million de Japonais sont inquiets de savoir s’ils sentent mauvais.
"Ce n'est pas l'accueil que nous espérions tous, mais le préfet de la Vendée a accepté un accueil à minima", a réagi Yannick Moreau, le maire des Sables d'Olonne.
Invitée de la matinale de Public Sénat, « Bonjour chez vous », la ministre déléguée chargée de l’Autonomie, estime que ce chiffre n’est pas « suffisant ».
Alors que le nombre de morts du Covid-19 dans le monde a dépassé les deux millions, l'AFPTV a interrogé des chefs religieux sur toute la planète autour du deuil et de la foi.
Le variant britannique du covid-19 ne cesse de se propager en France et concernerait un porteur du coronavirus sur 10 en Île-de-France. De nombreux scientifiques s'inquiètent face à des chiffres de contamination qui s'affolent à nouveau. Ils réclament un durcissement des mesures sanitaires.
VIDEO BASKET - Découvrez les temps forts de la rencontre entre Boulogne-Levallois et Trente (92-86 ap) pour le compte de la 3e journée du groupe F du Top 16 d'Eurocoupe.
Ce mardi, lors du quart de finale de la Coupe d'Italie entre l'Inter et l'AC Milan, Romelu Lukaku et Zlatan Ibrahimovic se sont retrouvés front contre front avant de s'insulter.
Le Fenerbahçe Istanbul a engrangé une septième victoire d'affilée face aux Israéliens du Maccabi Tel-Aviv, et s'accroche au top 8, à égalité avec son voisin d'Efes, victorieux de Belgrade. Le Bayern s'est imposé sur le parquet du Khimki Moscou.
Si Marco Schwarz a remporté le slalom le plus prestigieux de la saison de Coupe du monde à Schladming, les Français ont animé la course à d'autres niveaux. Clément Noël et Alexis Pinturault complètent le podium tandis que Julien Lizeroux a disputé la dernière manche de sa carrière.
En Grèce, où un confinement progressivement allégé est en cours depuis le mois de novembre, les autorités viennent de décréter sans préavis l’interdiction de rassemblements de plus de 100 personnes pour toute la semaine. Officiellement, il s’agit de lutter contre la diffusion du coronavirus, mais la mesure semble surtout viser à contenir tout mouvement de contestation sociale trop important, en particulier celui des étudiants. Avec notre correspondant à Athènes, Joël BronnerÀ en croire les autorités grecques, le motif de la limitation de rassemblements à 100 personnes maximum serait une affaire de santé publique. L’opposition, elle, y voit une manœuvre, visant en particulier à limiter l’impact d’un mécontentement étudiant grandissant. Une manifestation était en effet justement programmée ce jeudi, avec comme mots d’ordre la réouverture des universités et le refus d’une présence policière à l’intérieur.« À l’aide d’une nouvelle loi, le gouvernement a l’intention de mettre en place des forces de police à l’intérieur des universités, confie Amalia Kosma, en dernière année de sociologie à l’université Panteion d’Athènes. C’est un projet qui va couter 30 millions d’euros et cela alors que les universités grecques sont mal en point, pas seulement en raison de la pandémie actuelle qui détruit tout, mais aussi en raison de problèmes structurels. Donc cette somme représente beaucoup d’argent pour une simple présence policière alors que cet argent pourrait financer l’éducation et des choses dont nous avons davantage besoin. »L’étudiante pense que les restrictions de rassemblement n’empêcheront pas la contestation étudiante de se poursuivre en Grèce, même si elle se désole que les télévisions locales, influentes dans le débat public, ne suivent pas davantage un mouvement qu’elle et ses camarades jugent essentiel.
JEU VIDEO - Par ailleurs, les jeux free-to-play ne requerront désormais plus d’abonnement au Xbox Live pour être joués en ligne
En Éthiopie, les combats continuent dans certaines zones de la province du Tigré, dont l'accès est toujours interdit à la presse. Malgré les dénégations officielles, un haut gradé éthiopien et un administrateur civil ont publiquement confirmé que des troupes érythréennes se trouvaient bien engagées dans les combats contre ce qui reste du TPLF, le parti dissident qui dirigeait la province jusqu'en novembre. Et il semble qu'elles jouent un rôle important dans la guerre. Aux yeux des observateurs indépendants de la guerre du Tigré, l'engagement érythréen ne fait aucun doute. « L'armée d'Asmara contrôle les villes d'Adoua, de Shire et d'Adigrat, ainsi que les routes et des banlieues de Mekele », affirme le journaliste Amanuel Ghirmai de Radio Erena, s'appuyant sur des sources militaires et des témoignages d'habitants. Il ajoute avoir parlé avec des familles en Érythrée, ayant parmi elles des soldats blessés en Éthiopie et soignés dans les hôpitaux de leur pays natal.« Le long de la frontière, les villes disputées de Badmé et Zalambessa sont également sous le contrôle des Érythréens », confirme le chercheur norvégien Kjetil Tronvoll, de l'université de Bjorkness. On donne un choix aux habitants, ajoute-t-il : accepter une carte d'identité érythréenne ou fuir leur maison. Les hommes en âge de porter des armes sont souvent abattus, selon lui. Les Érythréens ont commis « des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité, conclut-il. La seule question est de savoir si on peut en qualifier certains d'actes de génocide. »Ces deux observateurs font écho à de nombreux autres témoignages faisant état de tueries et de pillages commis par les troupes érythréennes dans le Tigré, tandis que les autorités éthiopiennes se contentent de brèves dénégations. Pour eux, le but de guerre du président érythréen est pourtant clair : détruire le TPLF et affaiblir durablement le Tigré. « Issaias Afeworki accuse le TPLF d'avoir empêché le développement de l'Érythrée pendant vingt ans, explique Kjetil Tronvoll. Aujourd'hui, c'est sa revanche. » La preuve, selon Amanuel Ghirmai : les destructions d'hôtels et d'usines par des soldats érythréens qu'on a pu constater dans le Tigré, explique-t-il, « sont une réplique exacte des destructions commises par l'armée éthiopienne dans les villes érythréennes de Barentu, Senafe ou Tessenei, lors de la guerre de 1998-2000 ».Frustration dans les rangs éthiopiensLes opérations de destructions sont « trop bien organisées, trop bien orchestrées pour être le fait d'éléments isolés », ajoute d'ailleurs l'universitaire Kjetil Tronvoll, qui se trouvait dans le Tigré juste avant le déclenchement des opérations militaires. « Les soldats ont des ordres et les ordres viennent de tout en haut, d'Issaias Afeworki en personne », complète le journaliste Amanuel Ghirmai, qui a travaillé pour le ministère de la Défense avant de fuir son pays.Pour l'Éthiopie qui est aussi engagée sur d'autres fronts à la frontière du Soudan ou dans l'État du Benishangul-Gumuz, les Érythréens semblent inamovibles aujourd'hui dans le Tigré, disent les deux hommes. Il existe un certain niveau de frustration dans l'armée éthiopienne, expliquent-ils tous les deux, comme le révèlent les déclarations du général éthiopien Belay Seyoum fin décembre, selon qui des troupes érythréennes sont intervenues dans le conflit « sans y avoir été invitées ». Ou celles du maire par intérim de Mekele, Ataklti Haileselassie, qui affirmait dans un vidéo au début de l'année que le gouvernement éthiopien « travaillait désormais à leur faire quitter la région rapidement ».Or telle ne semble pas être la volonté de l'Érythrée. « Dans le Tigré aujourd'hui, conclut Amanuel Ghirmai, c'est Issaias Afeworki qui dicte sa loi. »
Ariane Brodier a apporté son témoignage pour marquer son opposition à l’adoption d’une nouvelle loi par le Sénat autour de l'âge du consentement sexuel. L'animatrice a publié une photo d'elle pré-ado sur son compte Instagram. L'évocation de ses 13 ans est pour elle l'occasion de revenir sur un épisode douloureux.
Ce mardi 26 janvier 2021, les joueurs de l'Euromillions pouvaient espérer gagner 17 millions d'euros. Découvrez sans plus tarder les résultats du tirage.