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Zara et H&M accusés d’accélérer la déforestation au Brésil

Paralaxis/Getty Images

Un vrai «scandale». C’est ce que dénonce l’ONG Earthsight dans sa dernière enquête publiée ce jeudi 11 avril et relayée par nos confrères du Monde. Intitulée précisément «Crimes de mode. Les géants européens liés au scandale du coton brésilien», elle se penche sur le défrichement massif de la forêt amazonienne de Cerrado au Brésil. Pendant un an, les membres de l’ONG ont enquêté en passant au crible des images satellites et des données, et en interviewant des agriculteurs locaux pour établir comment deux géants du coton, Grupo Horita et SLC Agricola, profitent de champs à perte de vue qui ont remplacé la savane en quelques années.

Du coton qui est ensuite envoyé en Asie et qui sert à fabriquer des vêtements pour deux géants de l’habillement : H&M et Inditex, propriétaire de Zara, Massimo Dutti, Bershka, Oysho ou encore Pull and Bear. Le problème, c’est que ces géants du coton obtiennent des certifications, comme la Better Cotton (BC), label utilisé par les grandes marques pour certifier les produits utilisés dans la fabrication de ses jeans, par exemple. 140 000 hectares détenus par Grupo Horita, 44 000 par SLC Agricola, qui utiliseraient du coton sur des champs issus de défrichages illégaux, selon l’ONG. Les pratiques d’Horita ne sont pas nouvelles et l’État de Bahia dénonce déjà depuis dix ans des «déforestations illégales» ou une absence d’autorisation.

Le groupe a déjà reçu des amendes de plusieurs millions de dollars, mais comme SLC Agricola, ils ne s’arrêtent pas là. Selon (...)

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