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Wish n’arrive pas à se faire débannir du web français

Un recours devant le Conseil constitutionnel n’a pas permis à Wish d’améliorer sa situation. La plateforme reste globalement bannie du web français.

Le souhait de Wish de se faire débannir en France n’a pas été exaucé. Dans une décision rendue ce vendredi 21 octobre 2022, le Conseil constitutionnel a balayé la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) déposée par la société ContextLogic, qui édite la plateforme commerciale Wish. Le service reste aujourd’hui indésirable dans l’Hexagone.

Le Conseil constitutionnel, qui vérifie la conformité des actes à la Constitution, a, dans sa décision, constaté la légalité des mesures législatives qui autorise l’administration à obtenir le déréférencement de certains services et sites. Cela concerne des moteurs de recherche comme des boutiques d’applications, lorsque leurs contenus « présentent un caractère manifestement illicite ».

Logo de Wish. // Source : Montage, Nino Barbey pour Numerama, Wikimedia/CC/Wish
Logo de Wish. // Source : Montage, Nino Barbey pour Numerama, Wikimedia/CC/Wish

À l’origine de cette affaire, on trouve la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF), qui dépend du ministère de l’Économie et des Finances. Le 24 novembre 2021, ce service rendait compte des conclusions de son enquête. Celles-ci étaient sévères et, en conséquence, il fallait prendre des dispositions à la hauteur de l’incident.

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Dans ses observations, la DGCCRF a noté que sur un échantillon de 140 accessoires vendus sur Wish, « 90 % des appareils électriques analysés étaient considérés comme dangereux » —

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