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Wagner restera en Biélorussie malgré les inquiétudes de la Pologne

Armée biélorusse

Même après la mort d’Evguéni Prigojine, le groupe Wagner continue de terroriser les pays voisins de la Biélorussie. Lors d’une conférence de presse conjointe, la Pologne, la Lituanie, l’Estonie et la Lettonie ont averti Minsk qu’elles fermeront leurs frontières avec ce pays si le Président Biélorusse Alexandre Loukachenko n’expulsait pas cette milice privée de son pays. "En cas d'incident critique, que ce soit à la frontière polonaise ou lituanienne, nous prendrons des mesures de rétorsion immédiates. Tous les postes frontières qui ont été ouverts jusqu'à présent seront fermés", a précisé Mariusz Kaminski, le ministre polonais de l’Intérieur.

Pour expliquer cette position diplomatique, l’homme politique polonais a qualifié ce groupe de mercenaires de “force démoralisée, extrêmement dangereuse et capable de tout”. Pour rappel, Wagner a été redéployé en Biélorussie après avoir lancé une brève insurrection contre l’État-major russe à la fin du mois de juin 2023. La présence de cette compagnie militaire privée sur le sol biélorusse a alimenté les tensions de longue date entre Minsk et Varsovie. La Pologne a affirmé que cette milice était active le long de la frontière entre ces deux pays et menait une "guerre hybride" contre elle. Le gouvernement biélorusse a rejeté ces allégations et déclaré que Varsovie était "devenue folle" avec ses spéculations autour de Wagner.

D’ailleurs, la réponse d’Alexandre Loukachenko, ne s’est pas fait attendre. “Les pays de l'Otan n'ont pas le droit d'exiger (...)

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