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Vinted : ce qui se cache vraiment derrière le leader de la seconde main

UNSPLASH

«Si tu ne le portes pas, vends-le.» Les Français en sont tombés amoureux dès qu’elle a été créée il y a quinze ans : l’application Vinted est née en Lituanie. Mais aujourd’hui, c’est un ogre du secteur de la seconde main. Présente dans 19 pays avec ses 80 millions d’utilisateurs, l’application a changé la manière de consommer d’un tiers des Français (23 millions). De nombreux utilisateurs l’avouent : ils ont «l’impression de moins polluer» et aussi de faire des économies. Mais est-ce réellement le cas ? N’entretient-elle pas une forme d’addiction et de surconsommation ? Les équipes d’Envoyé spécial ont obtenu l'autorisation exceptionnelle de se rendre au siège de l'entreprise, à Vilnius, en Lituanie, et de rencontrer sa fondatrice, Milda Mitkute.

Interrogée, une utilisatrice française passe son temps à faire le tour des commerçants du quartier pour récupérer des cartons. Elle revend des vêtements chaque jour. Son canapé est rempli, «c’est ma caverne de Vinted», avoue-t-elle. Elle a 105 petites annonces sur l’application au moment du tournage. Aujourd’hui, les revenus perçus sur Vinted doivent être déclarés, et au-dessus de 3 000 euros par an, ils sont imposables. Lorsque Milda Mitkute a lancé Vinted, elle n’avait que 20 ans, était étudiante et vivait chez ses parents : «Je n’avais pas beaucoup d’argent, je devais vider tout mon dressing et j’ai réalisé que je ne pouvais pas tout emporter, car mon armoire n’était pas assez grande», explique-t-elle. Et elle a donc créé Vinted.

Avec (...)

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