Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    7 479,40
    -51,32 (-0,68 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 894,02
    -8,58 (-0,18 %)
     
  • Dow Jones

    39 118,86
    -45,24 (-0,12 %)
     
  • EUR/USD

    1,0739
    +0,0030 (+0,28 %)
     
  • Gold future

    2 336,90
    -2,70 (-0,12 %)
     
  • Bitcoin EUR

    57 764,17
    +983,57 (+1,73 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 287,16
    +3,33 (+0,26 %)
     
  • Pétrole WTI

    81,46
    -0,08 (-0,10 %)
     
  • DAX

    18 235,45
    +24,85 (+0,14 %)
     
  • FTSE 100

    8 164,12
    -15,56 (-0,19 %)
     
  • Nasdaq

    17 732,60
    -126,10 (-0,71 %)
     
  • S&P 500

    5 460,48
    -22,39 (-0,41 %)
     
  • Nikkei 225

    39 583,08
    +241,58 (+0,61 %)
     
  • HANG SENG

    17 718,61
    +2,11 (+0,01 %)
     
  • GBP/USD

    1,2652
    +0,0010 (+0,08 %)
     

La version télé-réalité de «Squid Game» pour gagner 4 millions de dollars crée le malaise

Unsplash

Entre la fascination et le malaise. C'est ce que provoque la nouvelle télé-réalité Squid-Game : le défi, inspirée de la série coréenne du même nom et diffusée sur Netflix. Cette émission, disponible sur la plateforme depuis le 22 novembre, fait l'objet de vives critiques depuis sa mise en ligne. Durant plusieurs jours, les quelque 456 candidats doivent gagner des jeux d'enfants, tels que «1, 2, 3... Soleil» ou la bataille navale, pour remporter 4,56 millions de dollars réservé au grand gagnant.

Dans la série, les candidats doivent lutter pour ne pas mourir. Dans la réalité, personne ne meurt véritablement mais les perdants doivent simuler leur mort. Les décors et habillements ou encore l'esthétique sont également choisis pour reproduire les traits de la série. De quoi perturber le téléspectateur, perdu entre la dystopie et la réalité.

Cette fidélité pour ressembler à la série provoque une confusion entre l'enjeu de la série et celui de la téléréalité. «Le public ressent l’élimination avec une intensité dramatique supplémentaire par rapport à une simple sortie d’émission», relève Nathalie Nadaud-Albertini, sociologue des médias au Crem de l'université de Lorraine, auprès de Numérama.

Depuis la fin du tournage, plusieurs candidats dénoncent par ailleurs les mauvaises conditions de vie sur le plateau. Plusieurs actions en justice ont été entamées contre la production, évoquant notamment le manque d'hygiène et de sécurité. Joy, la seule candidate française à avoir participé à l'émission (...)

PUBLICITÉ

(...) Cliquez ici pour voir la suite

LGV : dans les Landes, les habitants vont attaquer la taxe spéciale d’équipement
Le rendement du PEL va augmenter, comment profiter de l’envolée du cours de l’or ? Le Flash éco du jour
La Russie produit six fois plus de drones pilotables que l'Ukraine
JO de Paris 2024 : Valérie Pécresse vous invite à télétravailler au maximum pendant l'événement
Anne Hidalgo, Clément Beaune, Valérie Pécresse : qui gagnera la guerre des 50km/h sur le périphérique à Paris ?