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Valérie Pécresse candidate LR à la présidentielle, vous n'avez pas fini d'entendre cette punchline

POLITIQUE - “Cramer la caisse”. Sur les sujets de pouvoir d’achat, de finances ou si vous l’interrogez sur le bilan de son prédécesseur, il y a de grandes chances pour que Valérie Pécresse vous parle du mandat d’Emmanuel Macron en ces termes: “Il a cramé la caisse”.

La présidente de la région Ile-de-France, désignée candidate à la primaire LR pour l’élection présidentielle 2022 ce samedi 4 décembre, use et abuse de l’expression. Tant et si bien qu’on lui en avait fait la remarque lors du dernier débat entre les 5 compétiteurs du Congrès, à l’issue duquel elle a largement devancé Eric Ciotti au second tour. “Vous l’aimez bien cette expression?”, soulignait, amusée, Sonia Mabrouk sur CNews le 21 novembre.

Trois fois en un débat

Valérie Pécresse l’aura répété trois fois ce soir-là: “Emmanuel Macron a cramé la caisse”. La première fois c’était le 17 septembre, au micro de BFMTV. Le 19 octobre, elle le redit en conférence de presse. Puis pendant les deux débats qui suivent.

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La seule femme à se présenter à l’investiture LR mise sur une image sérieuse, de celle qui a déjà dû gérer des “caisses” justement. Va-t-elle à nouveau ressortir son expression préférée pour tancer l’actuel président, maintenant qu’elle est la candidate de son parti?

Mauvais souvenirs

Quoi qu’il en soit, la femme politique a déjà revendiqué la maternité de sa punchline favorite. La formule, dans le texte, est toutefois à attribuer à Laurent Wauquiez, comme l’avait fait remarquer Éric Ciotti lors du dernier débat LR.

En 2018, devant des étudiants de l’EM Lyon, l’actuel président de la région Auvergne-Rhône-Alpes avait en effet dézingué certains membres de sa famille politique dans des propos enregistrés à son insu, ensuite rendus publics. Il y critiquait notamment la gestion financière d’Alain Juppé à Bordeaux, l’accusant d’avoir “totalement cramé la caisse” de sa ville. De mauvais souvenirs que Les Républicains, qui jouent désormais l’union et l’apaisement, préféreront oublier.

À voir également sur Le HuffPost: “Stéphane Ravier… euh Julien”: Ce lapsus d’Éric Ciotti n’est pas passé inaperçu

Cet article a été initialement publié sur Le HuffPost et a été actualisé.

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