Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 219,14
    +31,49 (+0,38 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 085,08
    +30,67 (+0,61 %)
     
  • Dow Jones

    39 512,84
    +125,08 (+0,32 %)
     
  • EUR/USD

    1,0772
    -0,0012 (-0,11 %)
     
  • Gold future

    2 366,90
    +26,60 (+1,14 %)
     
  • Bitcoin EUR

    56 410,97
    -2 107,72 (-3,60 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 261,70
    -96,31 (-7,09 %)
     
  • Pétrole WTI

    78,20
    -1,06 (-1,34 %)
     
  • DAX

    18 772,85
    +86,25 (+0,46 %)
     
  • FTSE 100

    8 433,76
    +52,41 (+0,63 %)
     
  • Nasdaq

    16 340,87
    -5,40 (-0,03 %)
     
  • S&P 500

    5 222,68
    +8,60 (+0,16 %)
     
  • Nikkei 225

    38 229,11
    +155,13 (+0,41 %)
     
  • HANG SENG

    18 963,68
    +425,87 (+2,30 %)
     
  • GBP/USD

    1,2525
    +0,0001 (+0,01 %)
     

UDI : Les troupes de Lagarde embarrassées

Virginie Clavières / Paris Match

Spectatrice du congrès LR et gênée par les déclarations de son patron, l’UDI termine le quinquennat dans le brouillard.

Rude semaine pour Jean-Christophe Lagarde. Elle a débuté par de plates excuses après une sortie violente du président de l’UDI à l’encontre d’Éric Zemmour (« Si M. Pasqua était là, il te filerait une balle dans la tête », a-t-il cinglé sur France Info). Et elle s’achève sur un conseil national, le 27 novembre, qui acte l’exclusion du mouvement centriste des préparatifs de la présidentielle à droite. Le député de Seine-Saint-Denis souhaitait que les militants désignent leur candidat préféré parmi les prétendants au congrès des Républicains. Mais face au refus de Michel Barnier, d’Éric Ciotti et de Valérie Pécresse, le scrutin a été annulé. De quoi rendre amer Hervé Marseille, le patron des sénateurs centristes : « Les LR veulent bien de nos parrainages, mais ils ne nous associent en rien. Ils aimeraient qu’on se contente de ratifier leur choix du congrès. Eh bien, nous, on n’est pas obligés de les soutenir. »

Place à l’alternance donc. Et pour la faire advenir, la formation centriste mise sur… Xavier Bertrand

À en croire le sénateur des Hauts-de-Seine, l’UDI et LR n’ont pas fini de solder la crise de confiance de 2018-2019, quand Laurent Wauquiez était patron des Républicains : « Il a créé une fracture dont on subit encore les effets. » Mais pour cet autre bon connaisseur des arcanes centristes, le parti de Jean-Christophe Lagarde paie surtout ses trop nombreux changements de ligne : « Un coup chez Macron, un coup à droite, ça a été le quinquennat du zigzag permanent ! » Un dirigeant centriste l’admet : « La lisibilité n’a pas toujours été évidente. » Après s’être émancipée de la droite de Wauquiez, l’UDI s’était lancée en solo aux européennes. Pour un résultat piteux (2,5 %). Puis le parti avait envisagé un(...)


Lire la suite sur Paris Match