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Les titres-restaurant sont-ils vraiment encore intéressants ?

Michel GILE/Gamma-Rapho / Getty Images

Le 31 décembre, les titres-restaurants ne pourront plus être utilisés pour l’achat de produits alimentaires non consommables de suite. Ainsi, il retrouve une utilisation stricto-sensus : un moyen de paiement pour se restaurer quotidiennement. Cet élargissement à des aliments non transformés type pâte, riz, viande, farine avait été décidé le 18 août 2022 dans le cadre de la loi pour la protection du pouvoir d’achat.

A cette restriction qui tombe mal pour de nombreux foyers, dépendant des titres-restaurants pour réduire le coût des courses, s’ajoutent le mécontentement des restaurateurs. Ils sont de plus en plus nombreux à refuser les titres-restaurants papiers. Depuis février, environ 10% d’entre eux ne les acceptent plus. Et ce chiffre pourrait atteindre les 24% d’ici la fin de l’année, selon une étude du groupement des hôtelleries et restaurations de France, publiée en juin (GHR).

Ce refus est en réaction à la fermeture du Centre des Titres-Restaurants, le 28 février dernier, et oblige désormais les restaurateurs à passer par un laborieux cheminement administratif. L’envoi des tickets se fait par courrier postal et s’en suit plusieurs semaines d’attente avant d’être remboursés. Alors qu’auparavant, ils leur suffisaient de les déposer dans un point relais, habituellement l’enseigne Métro. Un mal pour un bien selon les acteurs du secteur qui voit en cette dématérialisation massive (et forcée) de nombreux avantages pour les salariés et les employeurs.

Pour rappel, le titre restaurant (...)

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