Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 088,24
    +71,59 (+0,89 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 006,85
    +67,84 (+1,37 %)
     
  • Dow Jones

    38 239,66
    +153,86 (+0,40 %)
     
  • EUR/USD

    1,0696
    -0,0037 (-0,34 %)
     
  • Gold future

    2 350,40
    +7,90 (+0,34 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 774,47
    -754,54 (-1,25 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 333,01
    -63,53 (-4,55 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,65
    +0,08 (+0,10 %)
     
  • DAX

    18 161,01
    +243,73 (+1,36 %)
     
  • FTSE 100

    8 139,83
    +60,97 (+0,75 %)
     
  • Nasdaq

    15 927,90
    +316,14 (+2,03 %)
     
  • S&P 500

    5 099,96
    +51,54 (+1,02 %)
     
  • Nikkei 225

    37 934,76
    +306,28 (+0,81 %)
     
  • HANG SENG

    17 651,15
    +366,61 (+2,12 %)
     
  • GBP/USD

    1,2493
    -0,0018 (-0,14 %)
     

Tirer au laser sur les débris spatiaux coûterait moins cher que les éviter

Se débarrasser des débris en orbite autour de la Terre est une obligation morale… mais ce serait également viable au niveau économique. La NASA affirme que ce type de projets pourraient s’avérer rentables.

Personne n’aime voir une vieille pomme pourrir dans son frigo. Mais souvent, on attend que quelqu’un d’autre dans la maison s’en occupe. C’est un peu la même histoire pour les débris spatiaux. Ils se multiplient et représentent une gêne de plus en plus forte pour toutes celles et tous ceux qui travaillent de près ou de loin sur le spatial.

Entre les astronomes qui les voient passer devant leur objectif, les agences spatiales qui doivent faire en sorte que leurs précieuses sondes, voire l’ISS, ne soient pas percutés par un intrus, ou les opérateurs de satellites qui envoient des dizaines d’engins à la fois et doivent éviter les collisions… Tout le monde en a marre de ces débris.

PUBLICITÉ

Pourtant, peu sont ceux qui ont mis la main à la pâte pour les retirer, tant la tâche paraît énorme, et surtout, chère. C’est ce qu’a bien compris la NASA qui a conduit une étude sur le sujet parue le 10 mars, où elle évalue le coût du retrait des déchets, comparé au coût de l’inaction. Et il s’avère que dans ce secteur, il y aurait un business.

« C’est la première fois que cette problématique est abordée de cette façon-là,

[Lire la suite]