Publicité
La bourse est fermée
  • Dow Jones

    39 308,00
    -23,90 (-0,06 %)
     
  • Nasdaq

    18 188,30
    +159,54 (+0,88 %)
     
  • Nikkei 225

    40 913,65
    +332,89 (+0,82 %)
     
  • EUR/USD

    1,0813
    +0,0026 (+0,24 %)
     
  • HANG SENG

    18 028,28
    +49,71 (+0,28 %)
     
  • Bitcoin EUR

    53 782,40
    -2 133,00 (-3,81 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 207,73
    -53,45 (-4,24 %)
     
  • S&P 500

    5 537,02
    +28,01 (+0,51 %)
     

Sans téléphone depuis début juillet, cette nonagénaire est coupée du monde

PIXABAY

Voilà plus d'un mois et demi qu'une habitante du petit village de Sainte-Gauburge-Sainte-Colombe (Orne) est coupée du monde, raconte Le Réveil normand. La faute à un camion qui a percuté un poteau électrique, entraînant l'arrachage de la ligne téléphonique. Le problème, c'est que cette habitante qui vit seule est âgée de 96 ans. Et le téléphone est son seul moyen de communication avec sa famille et les organismes qui lui rendent visite. "Ma mère n’a plus de téléphone fixe et cela la met dans une situation très difficile", souligne son fils auprès du quotidien normand, d'autant que le "système d’alerte qu’elle porte en permanence autour du cou ne fonctionne plus", à cause de cette coupure.

Son appareil fonctionne en effet comme un téléphone fixe, "avec des numéros préenregistrés", confie son fils, mais il est relié au réseau mobile à l'aide d'une carte SIM. Raison pour laquelle, sans réseau, le système d'alerte ne fonctionne plus. Pour parer à cela, son fils lui a acheté un téléphone avec une carte prépayée. Une solution, mais si le téléphone n'est pas à portée de main, sa mère ne pourra pas appeler si elle tombe par exemple. Au-delà de l'inquiétude quotidienne, la famille de la nonagénaire est en colère contre Orange, l'opérateur.

Le sinistre a en effet eu lieu le 5 juillet dernier. Si on leur a indiqué dans un premier temps une réparation le 7 juillet, la date n'a cessé d'être décalée : "Le 7, on m’a dit que ce sera le 11. Le 12, on m’a dit que ce sera le 18. Le 18, on m’a demandé (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite