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Sports d'hiver : les Français se ruent sur les raquettes à neige

Chez TSL Outdoor, les commandes ont ainsi été multipliées par 10, de 1 000 à 10 000 par jour, pour des raquettes vendues entre 80 et 300 euros (photo d'illustration).
Chez TSL Outdoor, les commandes ont ainsi été multipliées par 10, de 1 000 à 10 000 par jour, pour des raquettes vendues entre 80 et 300 euros (photo d'illustration).

C'est l'une des conséquences inattendues de l'annonce de la fermeture des remontées mécaniques dans les stations de ski. Pour beaucoup d'amateurs de sports d'hiver ne souhaitant pas renoncer à ce petit plaisir, une solution s'est imposée à eux : s'offrir des raquettes à neige pour aller randonner. De quoi faire exploser les commandes du côté de TSL Outdoor, le leader mondial du secteur, expliquent Le Parisien et France Bleu.

« On n'a jamais vendu autant de raquettes », explique Philippe Gallay, le patron de cette PME basée à Annecy-le-Vieux, en Haute-Savoie, qui reconnaît dans Le Parisien être « complètement débordé ». « On doit produire actuellement en deux mois ce que l'on fabrique d'habitude en six mois. D'ordinaire, sur la période de novembre à décembre, on faisait 30 000 paires de raquettes. Là, on va monter à 60 000. On est à 100 % de plus des commandes habituelles. » Les commandes ont ainsi été multipliées par 10, de 1 000 à 10 000 par jour, pour des raquettes vendues entre 80 et 300 euros.

Du made in France

« Je suis un privilégié », reconnaît sur France Bleu Philippe Gallay, qui a dû embaucher pour faire face à cette fin d'année imprévue alors que son entreprise produit 75 % des raquettes vendues en France et pèse pour 35 % du marché mondial. « On est à peu près une soixantaine sur une saison normale. Là, nous sommes montés à 120 personnes et nous travaillons en 2 équipes. Et je suis encore en train d'embaucher, notamment des moniteurs de ski, pour c [...] Lire la suite