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SNCF : pourquoi la ligne Paris-Aurillac connaît déboire sur déboire

Remontees/Wikimedia Commons

Son retour avait été annoncé en grande pompe il y a tout juste deux ans, en janvier 2022 : la ligne du train de nuit Paris-Aurillac, abandonnée en 2003, devait faire son retour au mois de décembre. Celle reliant Paris à Berlin ouvrait le lendemain. Mais à peine un mois plus tard, la ligne connaît déboire sur déboire, selon le quotidien La Montagne. Pourtant, la SNCF avait promis des allers-retours quotidiens tous les jours des vacances scolaires, puis les vendredis et dimanches le reste de l’année. Oui mais voilà, les pannes pourrissent la vie des voyageurs.

Cinq jours après le lancement du nouveau dispositif, le train de nuit en direction d’Aurillac est tombé en panne dans la Creuse. Les voyageurs avaient dû prendre un car et avaient passé une nuit cauchemardesque. Le 2 janvier, le train de nuit de la ligne était supprimé dans les deux sens. Comme solution de recours : un car vers Brive, où les voyageurs pouvaient ensuite prendre un autre train de nuit vers Paris. La faute à un problème de matériel, indique la SNCF auprès de La Montagne : «Le parc des locomotives thermiques est encore sous tension et le Paris-Aurillac en fait les frais.» Deux incidents seulement ?

Non, selon les voyageurs, comme cette habitante du Cantal qui devait prendre le train de nuit le 25 décembre. En panne à Aurillac, le train s’est arrêté net, les usagers devant prendre, là encore, un car vers Brive. Le «retour du temps des diligences», raille-t-elle. Il a fallu attendre une heure un train dans le hall (...)

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