Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    7 479,40
    -51,32 (-0,68 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 894,02
    -8,58 (-0,18 %)
     
  • Dow Jones

    39 118,86
    -45,20 (-0,12 %)
     
  • EUR/USD

    1,0716
    +0,0007 (+0,06 %)
     
  • Gold future

    2 336,90
    +0,30 (+0,01 %)
     
  • Bitcoin EUR

    56 853,47
    +333,23 (+0,59 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 267,81
    -16,02 (-1,25 %)
     
  • Pétrole WTI

    81,46
    -0,28 (-0,34 %)
     
  • DAX

    18 235,45
    +24,90 (+0,14 %)
     
  • FTSE 100

    8 164,12
    -15,56 (-0,19 %)
     
  • Nasdaq

    17 732,60
    -126,08 (-0,71 %)
     
  • S&P 500

    5 460,48
    -22,39 (-0,41 %)
     
  • Nikkei 225

    39 583,08
    +241,54 (+0,61 %)
     
  • HANG SENG

    17 718,61
    +2,14 (+0,01 %)
     
  • GBP/USD

    1,2646
    +0,0005 (+0,04 %)
     

«Shein, plus jamais !» : pourquoi cette étudiante boude la fast fashion

CHRISTOPHE ARCHAMBAULTAFP

Shein, Temu, Primark… Bientôt dix euros de pénalité par article vendu ? L'ultra fast fashion est la cible d’une proposition de loi des députés Horizons, examinée ce jeudi en commission à l’Assemblée avant d’être discutée dans l’hémicycle à partir du jeudi 14 mars. Ce texte veut imposer un bonus-malus aux enseignes et sites de commerce en ligne comme Shein.

Cette marque de vêtements chinoise est connue pour proposer chaque jour de nouveaux articles à des prix dérisoires aux consommateurs, mais certaines ONG comme Greenpeace l’accusent de faire l’impasse sur les droits humains et environnementaux dans ses processus de fabrication.

Ex-étudiante en école de publicité âgée de 23 ans, reconvertie en master de transition écologique à l’Institut supérieur de l’environnement à Paris, Marine a passé commande sur ce site en plein confinement imposé par la crise sanitaire, en 2020, avant de finalement regretter son achat.

«Commander des vêtements en ligne était devenu ma principale occupation pendant le confinement. J’ai été attirée par les bannières publicitaires de Shein en traînant sur Google. Leurs vêtements me paraissaient tendance, stylés, pas chers. J’avais envie de bien m'habiller. Quatre euros et quatre-vingt dix-neufs centimes le haut, forcément, tu cliques. Leur site m'a paru génial».

PUBLICITÉ

La jeune femme n’est pourtant pas une grande consommatrice de mode. Pour une quarantaine d'euros, elle s’est fait plaisir à l'approche du déconfinement estival. Au total, son panier contient un ou (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

DSI*, les acteurs clés de la transition écologique
Bourse : le CAC 40 franchit pour la première fois les 8 000 points
«Qui veut être mon associé ?» : cette start-up lyonnaise a collecté 750 000 euros !
Stellantis : «Le plus gros investissement de l’histoire de l’auto au Brésil et en Amérique du Sud»
Coupe du monde de football : TF1 perd les droits TV, M6 rafle la mise pour 2026 et 2030