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Notre sang n’aime pas l’espace : les astronautes détruisent trop de globules rouges

Un séjour dans l’espace n’est pas sans conséquence sur le sang des astronautes. La microgravité a pour effet une destruction accélérée des globules rouges dans leur sang.

Que se passe-t-il dans le sang des astronautes qui séjournent dans l’espace ? Sans surprise, les effets ne sont pas très positifs. Voyager dans l’espace contribue à détruire davantage les globules rouges dans le sang, avance une équipe de scientifiques dans Nature Medecine le 14 janvier 2021. Leur étude est relayée par l’université d’Ottawa.

Depuis les toutes premières missions spatiales, on sait que l’anémie, c’est-à-dire une baisse anormale du taux d’hémoglobine (présente dans les globules rouges) dans le sang, peut survenir chez les astronautes. Normalement, de nouveaux globules rouges sont créés chaque jour par l’organisme, plus précisément par la moelle osseuse, pour remplacer ceux qui sont détruits. En cas d’anémie, on constate soit que la production de globules rouges est insuffisante, soit que les globules rouges sont bien produits, mais détruits de façon trop importante.

Le sang de 14 astronautes en mission dans l’ISS analysé

Mais « les mécanismes contribuant à l’anémie dans les vols spatiaux sont restés flous », constatent ces scientifiques. C’est pourquoi ils ont entrepris de mesurer des marqueurs de l’hémolyse (la destruction des globules rouges du sang, un phénomène normal tant que la destruction n’est pas accélérée), dans des échantillons d’haleine et de sang de plusieurs astronautes.

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