Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 088,24
    +71,59 (+0,89 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 006,85
    +67,84 (+1,37 %)
     
  • Dow Jones

    38 239,66
    +153,86 (+0,40 %)
     
  • EUR/USD

    1,0697
    -0,0036 (-0,33 %)
     
  • Gold future

    2 348,90
    +6,40 (+0,27 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 775,45
    -870,13 (-1,43 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 332,32
    -64,22 (-4,44 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,64
    +0,07 (+0,08 %)
     
  • DAX

    18 161,01
    +243,73 (+1,36 %)
     
  • FTSE 100

    8 139,83
    +60,97 (+0,75 %)
     
  • Nasdaq

    15 927,90
    +316,14 (+2,03 %)
     
  • S&P 500

    5 099,96
    +51,54 (+1,02 %)
     
  • Nikkei 225

    37 934,76
    +306,28 (+0,81 %)
     
  • HANG SENG

    17 651,15
    +366,61 (+2,12 %)
     
  • GBP/USD

    1,2494
    -0,0017 (-0,14 %)
     

Salaire, possibilité de télétravail, diplôme requis... Voici le meilleur job en 2023

Pixabay

La tech est actuellement en proie à une vague de licenciements aux Etats-Unis, mais un poste semble pour l'instant échapper à cette tendance : celui de développeur full-stack, un architecte des sites web et programmateur à tout faire qui serait, selon CNBC ce vendredi 27 janvier 2023, le meilleur job de l'année. Ce métier arriverait en tête du classement annuel d'Indeed des "meilleurs emplois" aux États-Unis. La plateforme de recherche d'emploi s'est basée sur la demande croissante de ces informaticiens dans de nombreux secteurs, sur les salaires proposés et la proportion d'emplois à distance et hybrides proposés. Plus de la moitié des offres permettent une grande flexibilité géographique, et les salaires aux Etats-Unis sont particulièrement élevés - environ 120.000 euros annuels en moyenne.

Les recrutements de ces spécialistes seraient de plus en plus nombreux : la santé, l'éducation, la finance, le commerce électronique ou encore la fonction publique embauchent à la pelle, rapporte Megan Slabinski, experte en emplois technologiques interviewée par le média américain. Ces développeurs full-stack vont travailler à renforcer la présence en ligne de leurs employeurs. Polyvalents, ils peuvent autant concevoir un programme que travailler sur le back-office, participer au codage et développer de nouvelles fonctionnalités. Et selon nos confrères, il est possible de devenir un développeur "full-stack" sans diplôme universitaire.

Car pour les recruteurs, la priorité est donnée à l'expertise (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

La semaine de quatre jours contre une baisse de salaire : un tiers des Français prêt à sauter le pas
Réforme de l’assurance chômage : les nouvelles règles d’indemnisation au 1er février
Salaire : de belles augmentations sont prévues pour 2023
Suis-je obligé de participer au pot de départ d’un collègue ?
Prendre soin de soi et de son équipe pour développer l’engagement : 2023 est l’année du management par le “care”