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Sans salaire pendant des mois, l’ex-International Espoir Paul Bernardoni raconte son «cauchemar»

Jean Catuffe/Getty Images

Du rêve au cauchemar. Après huit saisons passées en France, le gardien de but français et ancien international espoir Paul Bernardoni avait décidé de franchir le pas et d’aller jouer à l’étranger, en Turquie précisément. Un départ d’Angers pour le club de Konyaspor, une ville du sud-est du pays, qui devait marquer une nouvelle étape dans sa carrière. Mais rien ne s’est passé comme prévu, comme il en a témoigné dans les colonnes du Parisien. Le joueur de 26 ans s’était pourtant méfié avant de signer en Turquie (de nombreux joueurs ont déjà fait état de retards de paiement) : «J’ai envoyé des dizaines de messages à des gars qui avaient joué là-bas. À part un mec qui m’a dit de ne pas y aller, tous les autres m’ont dit : “Au pire, tu auras un ou deux mois de retard, mais à la fin tu récupères tout.”» Il les a écoutés et a donc signé.

Au bout de quelques semaines, Paul Bernardoni a très vite compris que quelque chose ne tournait pas rond dans le club. «Je n’ai jamais été payé une fois normalement avec le salaire mensuel prévu dans mon contrat», glisse-t-il. Il a demandé alors pourquoi. Mais on lui a répondu que «ça allait arriver très vite». Las d’attendre, il a lancé une première démarche auprès de la Fédération internationale pour être payé. Mais son initiative n’a pas du tout plu au sein du club. Après avoir emmené le joueur dans leurs bureaux, les dirigeants ne l’ont pas payé pendant trois mois et demi… jusqu’à la résiliation de son contrat. Un climat «ni honnête ni très sain», (...)

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