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Roubini craint 10 ans de croissance molle et d’inflation, mais l’intelligence artificielle suscite l’espoir

mikroman6/Getty Images

Nouriel Roubini reste prudent sur les perspectives de croissance de l’économie mondiale. Ce célèbre économiste, professeur à la Stern School of Business de l'Université de New York et surnommé Dr Doom (“docteur désastre”) pour ses vues assez pessimistes, avait vu venir la crise des subprimes de 2008. Selon lui, les banques centrales ont fortement accru le risque d’atterrissage brutal du PIB mondial du fait du cycle massif de remontée des taux directeurs consenti face à la forte inflation persistante (qui reste désagréablement élevée, à ce stade, hors alimentation et énergie, éléments réputés assez volatils). Une perspective assortie d’un risque élevé d’instabilité financière.

La forte remontée des taux directeurs des banques centrales depuis 2021 a favorisé une envolée des rendements des obligations d’Etat (avec comme corollaire un plongeon de leurs cours). Déjà, en avril dernier, Nouriel Roubini relevait, dans une chronique des Echos, qu’à fin 2022, les pertes non réalisées sur titres des banques américaines ressortaient à 620 milliards de dollars, soit environ 28% de leur capital total. Et leurs pertes totales sont même bien plus élevées, si on tient compte de l’impact de la remontée des taux à long terme sur la valeur des actifs des banques, fait valoir l’économiste, pour qui de nombreuses banques américaines sont insolvables ou proches de l’être.

Et, alors qu’aux Etats-Unis les banques régionales jouent un rôle clé dans le financement des PME et des ménages, le stress sur les (...)

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