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Des "règles très strictes" : Carlos Tavares justifie sa rémunération à Stellantis

Stephane Sby Balmy/Stellantis

Les résultats du premier semestre sont tombés ce mercredi 26 juillet pour Stellantis. Grâce notamment à une hausse des prix, le constructeur automobile, qui regroupe quinze marques (Citroën, DS Automobiles, Opel, Peugeot, Vauxhall, Abarth, Alfa Romeo, Chrysler, Dodge, Fiat Automobiles, Fiat Professional, Jeep, Lancia, Maserati et Ram), a vu son bénéfice net bondir de 37% à 10,9 milliards d'euros. Porté aussi par ses ventes sur ses deux marchés phares, l'Europe et l'Amérique du Nord, Stellantis affiche un chiffre d'affaires global en forte hausse, de 12% à 98,4 milliards d'euros. Le groupe est donc bien au-dessus des autres constructeurs historiques et même de Tesla.

De quoi conforter encore un peu plus le P-DG du groupe, Carlos Tavares, qui était invité de France Inter ce mercredi matin. "Les résultats sont réconfortants par rapport aux efforts des employés de l'entreprise", a confié Carlos Tavares, se félicitant de "résultats records". Mais surtout, ces résultats pourraient lui rapporter très gros en fin d'année, aux alentours de 23 millions d'euros en rémunération. Interrogé, Carlos Tavares n'a pas éludé le sujet, ironisant d'ailleurs sur le nombre de remarques qu'on lui fait à ce sujet : "Nous ne manquerons pas d'observateurs pour porter un jugement là-dessus."

Mais surtout, Carlos Tavares a justifié ses émoluments, en rappelant, que son salaire était "variable à 90 %" et "indexé sur les résultats de l'entreprise". Conclusion : "Si l'entreprise va bien, le salaire de son dirigeant (...)

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