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La prodigieuse remontée des cours du pétrole se poursuit

La prodigieuse remontée des cours du pétrole se poursuit

Les chiffres sont spectaculaires. Le 12 janvier dernier, le baril tombait à 27 dollars. A l’époque, la chute paraissait incontrôlée, et la majorité des analystes pariaient sur un prolongement de la chute vers 20 dollars… où même moins, dans un marché surapprovisonné. Depuis, en moins de 7 mois, les cours ont quasiment doublé.

Cette fameuse situation de surapprovisionnement semble avoir été rayée d’un trait de plume en quelques semaines. Et il est vrai que plusieurs facteurs de court terme l’expliquent, et contribuent à ce que les cours retrouvent un niveau d’équilibre acceptable aussi bien par l’ensemble du marché, que les industriels du secteur pétrolier.

Baisse des stocks américains

Le facteur de très court terme qui a provoqué cette remontée à 50 dollars est un chiffre en provenance des Etats-Unis. L’inventaire hebdomadaire des stocks américains a montré une chute plus forte qu’attendue, de 4,2 millions de barils contre 2,5 seulement attendus. Mais l’impact réel, sur des stocks totaux évalués à 537 millions de barils, est négligeable.

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Cette nouvelle en tout cas a été le prétexte rêvé pour faire ce que le marché attend depuis quelques semaines : pousser les prix à 50 dollars, un objectif symbolique, mais un pas important aussi pour dégager des tendances à plus long terme pour l’ensemble de la sphère économique.

La fin du surapprovisionnement

Car la tendance de fond à moyen terme, c’est l’intégration aux cours de la fin de la situation de surapprovisionnement. Goldman Sachs l’a affirmé dans une étude il y a quelques semaines, les ruptures d’approvisionnement au Nigéria, au Venezuela (qui dispose, on le sait peu, de réserves estimées supérieures à celles de l’Arabie Saoudite !) et au Canada, ont eu leur effet.

On a désormais un marché tout juste correctement approvisionné, voire en situation de pénurie sur certaines zones. De quoi largement pousser ...

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