Prix des péages : le gouvernement promet de limiter la hausse
Depuis quelques jours, les conducteurs français n'ont qu'une crainte en tête : non plus une hausse des tarifs de l'essence, mais celle des péages. Alors que des négociations doivent débuter en novembre entre les opérateurs autoroutiers et le gouvernement, en vue d'une augmentation au 1er février, selon Le Monde, les concessionnaires ont évoqué une hausse allant jusqu'à 8% lors des discussions en cours avec le ministère des Transports. Une proposition dénoncée par la droite, le patron LR des sénateurs, en tête : "En pleine crise de pouvoir d'achat des Français déjà étranglés par le prix de l'essence […] cette demande est scandaleuse", a jugé Bruno Retailleau.
Le candidat à la présidence de son parti dit vouloir "rééquilibrer" les conditions "outrageusement favorables" dont ces sociétés "ont bénéficié quand l’État leur a concédé notre service public autoroutier". Face à la polémique naissante, le ministre des Transports, Clément Beaune, a voulu rassurer. Invité de Franceinfo, ce vendredi 23 septembre, il a promis que la hausse serait limitée. "Ça augmentera sans doute", mais la hausse sera "raisonnable", a-t-il assuré. Sans pour autant préciser de montant : "Je ne peux pas vous dire aujourd'hui de chiffre", a-t-il ajouté.
Cependant, des discussions se tiennent à l'heure actuelle, et Clément Beaune a promis qu'"on ne sera pas dans les ordres de grandeur de 7 ou 8%", dit-il, car "on ne peut pas imposer cela au pouvoir d'achat des automobilistes en ce moment". Mais les péages augmenteront, (...)
(...) Cliquez ici pour voir la suite
Votre banque n'est pas obligée de signaler des opérations douteuses sur votre compte
Impôt sur le revenu : gare au prélèvement automatique si vous n’avez pas assez payé
Cette aide qui pourrait profiter aux usagers des Transiliens et TER
Mois d'août record pour le Livret A dopé par la hausse du taux
Les astuces pour recharger son téléphone en faisant des économies d'énergie