Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 219,14
    +31,49 (+0,38 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 085,08
    +30,67 (+0,61 %)
     
  • Dow Jones

    39 512,84
    +125,08 (+0,32 %)
     
  • EUR/USD

    1,0772
    -0,0012 (-0,11 %)
     
  • Gold future

    2 366,90
    +26,60 (+1,14 %)
     
  • Bitcoin EUR

    56 416,23
    -2 214,21 (-3,78 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 257,59
    -100,42 (-7,40 %)
     
  • Pétrole WTI

    78,20
    -1,06 (-1,34 %)
     
  • DAX

    18 772,85
    +86,25 (+0,46 %)
     
  • FTSE 100

    8 433,76
    +52,41 (+0,63 %)
     
  • Nasdaq

    16 340,87
    -5,40 (-0,03 %)
     
  • S&P 500

    5 222,68
    +8,60 (+0,16 %)
     
  • Nikkei 225

    38 229,11
    +155,13 (+0,41 %)
     
  • HANG SENG

    18 963,68
    +425,87 (+2,30 %)
     
  • GBP/USD

    1,2525
    +0,0001 (+0,01 %)
     

Politique. Karl Nehammer, nouveau chancelier autrichien

En Autriche, le départ de Sebastian Kurz, le 2 décembre, provoque des remous. Le chancelier Alexander Schallenberg a assuré qu’il renonçait à ses fonctions, laissant la place au nouveau chef du parti conservateur, Karl Nehammer. Les conservateurs autrichiens ont également annoncé un remaniement ministériel.

Après l’annonce du retrait de la vie politique du dirigeant conservateur Sebastian Kurz, l’actuel chancelier, Alexander Schallenberg, a renoncé à ses fonctions à la tête du gouvernement, au profit de l’ancien ministre de l’Intérieur Karl Nehammer. Ce dernier remplacera également Sebastian Kurz à la présidence du parti chrétien-conservateur, l’ÖVP. “Je le remercie d’avoir veillé avec tant de sollicitude et de bienveillance à ce que la transition se passe bien”, a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse ce vendredi 3 décembre, avant d’assurer que les “lignes” du parti sur l’immigration et la crise sanitaire seraient respectées.

À lire aussi: Système. ​En Autriche, la corruption ne profite pas qu’à Sebastian Kurz

En choisissant Karl Nehammer, les conservateurs se lancent dans “une sorte de test de Roschach de la politique autrichienne”, analyse Die Presse. L’ancien ministre de 49 ans est viennois mais il est très apprécié en Basse-Autriche, ce qui lui donne un ancrage régional nécessaire dans une république fédérale. Cet ex-militaire et conseiller en communication est aussi connu pour avoir géré des situations difficiles. En 2016, il a notamment mené la campagne électorale du candidat à la présidence fédérale Andreas Khol. “Khol a échoué, mais cela n’a pas porté préjudice à

PUBLICITÉ

[...] Lire la suite sur Courrier international

À lire aussi :