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Les hackers frappent toujours deux fois : ne payez pas la rançon

Une étude révèle que les attaquants ont tendance à revenir, malgré le paiement de la rançon par la victime. Les hackers tentent encore d’infecter les ordinateurs ou cherchent à mettre la pression sur l’entreprise pour extorquer de l’argent.

Aucune entreprise n’est à l’abri des rançongiciels. Ces logiciels malveillants qui prennent en otage les dossiers indispensables se répandant comme une épidémie depuis le COVID. Une étude publiée ce 13 juin par la société experte en cybersécurité Cybereason révèle que 74 % des organisations françaises (73 % au niveau mondial) ont subi au moins une attaque par ransomware en 2022, contre seulement 55 % en 2021.

Lorsqu’une entreprise est victime de cette pratique, le premier réflexe est de payer le hacker, pour récupérer ses dossiers. L’erreur serait de croire que le malfaiteur s’arrêtera là. La même étude montre que 74 % des sociétés françaises qui ont versé une somme aux pirates ont eu droit à une nouvelle attaque, moins d’un mois après la première.

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Les hackers profitent de l’état de panique de la victime pour extorquer de l’argent à plusieurs reprises, avec à chaque fois un nouveau moyen de pression. « Les entreprises interrogées sont souvent surprises par le ton aimable des malfaiteurs au téléphone. Ils leur promettent une ristourne sur la somme initiale demandée si la victime paye dans la journée », raconte Joël Mollo Directeur général France de Cybereason.

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