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Les patrons redoutent l’arrêt des réformes

Emmanuel Macron pourra-t-il réformer ?
Emmanuel Macron pourra-t-il réformer ?

Soyons clairs : la plupart des patrons français, même s'ils n'y croyaient guère, avaient une frousse bleue d'une victoire de la Nupes. « Son programme était désastreux pour les PME et les entreprises de taille intermédiaire (ETI), donc celles qui créent le plus d'emplois et celles qui exportent le plus », rappelle l'économiste Christian Saint-Étienne. La première réaction des dirigeants, petits ou grands, a donc été un « ouf » de soulagement. Rapidement contrebalancé, cela dit, par le caractère ingouvernable du nouveau Parlement.

« On est très ennuyés, lâche un membre du Medef. Car, dans la durée, cette chambre introuvable risque de créer de la confusion, d'empêcher les décisions et donc les réformes. » Or, des réformes, les entreprises du pays en ont grandement besoin. « Si on ne poursuit pas la baisse des impôts de production, comme l'avait prévu Emmanuel Macron, et face à la dégradation de la conjoncture, le différentiel de compétitivité avec les autres pays européens va peser lourdement sur les investissements et les recrutements », s'inquiète Alexandre Montay, porte-parole du Mouvement des entreprises de taille intermédiaire (Meti). Ce dernier n'est pas pour autant alarmiste : « On mise sur le bon sens des différents groupes parlementaires. Ils savent tous que nos entreprises doivent être soutenues. Souvenons-nous aussi que François Hollande a pu engager des réformes de compétitivité, comme le CICE, malgré les frondeurs.

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