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Okaïdi reprend vos vêtements de seconde main en échange de bons d’achat

Grigory Bruev

Okaïdi/Obaïbi, comme d'autres enseignes, se met à la consigne. Lancé en octobre dernier, l’enseigne de prêt-à-porter pour enfants propose à ses clients de ramener divers habits achetés chez eux il y

a moins de deux ans (contrairement à ÏDTroc, lancé en 2016), et de repartir avec un bon d’achat.

Le principe est simple : «Nous proposons de leur racheter de manière ferme et définitive les vêtements apportés, selon une grille tarifaire précise, en remettant immédiatement en caisse une carte-cadeau équivalente au client», explique Stéphanie Dubourthoumieu, la directrice marketing et numérique d’Okaïdi, à nos confrères du Parisien.

Contrairement à ÏDTroc, où les clients peuvent déposer et vendre eux-mêmes des vêtements d’occasion de la marque dans une zone du magasin, les habits devront dater des deux dernières collections, soit avoir moins de deux ans. «Et nous allons gérer nous-mêmes l’étiquetage et la mise en vente. Les clients n’auront rien à faire», poursuit la directrice marketing et numérique. Pour s’assurer que les pièces n’ont pas plus de deux ans, les vendeurs peuvent vérifier l’étiquette de chaque produit, sur laquelle est inscrite la date de mise sur le marché.

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Les tarifs de reprise vont de 1,50 euro pour un T-shirt à 7,50 euros pour un blouson d’hiver de la marque Okaïdi. Pour Obaïbi, comptez 1 euro la reprise d’un T-shirt et 6 euros le blouson d’hiver. L’objectif final est de ne plus jeter. «Les invendus seront donnés à des associations», rapporte Claire-Marie Hénon, responsable (...)

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