Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 219,14
    +31,49 (+0,38 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 085,08
    +30,67 (+0,61 %)
     
  • Dow Jones

    39 512,84
    +125,08 (+0,32 %)
     
  • EUR/USD

    1,0772
    -0,0012 (-0,11 %)
     
  • Gold future

    2 366,90
    +26,60 (+1,14 %)
     
  • Bitcoin EUR

    56 520,88
    -1 881,92 (-3,22 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 260,72
    -97,29 (-6,95 %)
     
  • Pétrole WTI

    78,20
    -1,06 (-1,34 %)
     
  • DAX

    18 772,85
    +86,25 (+0,46 %)
     
  • FTSE 100

    8 433,76
    +52,41 (+0,63 %)
     
  • Nasdaq

    16 340,87
    -5,40 (-0,03 %)
     
  • S&P 500

    5 222,68
    +8,60 (+0,16 %)
     
  • Nikkei 225

    38 229,11
    +155,13 (+0,41 %)
     
  • HANG SENG

    18 963,68
    +425,87 (+2,30 %)
     
  • GBP/USD

    1,2525
    +0,0001 (+0,01 %)
     

Offensive. En Éthiopie, après la guerre, le spectre de la guérilla

Après avoir lancé l’assaut final contre Mekele, la capitale de la province rebelle du Tigré, les autorités ont annoncé avoir remporté la bataille, samedi 28 novembre. Mais cet éditorialiste prévient : la partie est encore loin d’être finie.

Depuis le 4 novembre dernier, l’armée éthiopienne est en guerre contre le Front de libération du peuple du Tigré (TPLF). L’objectif de cette opération était de faire revenir dans la République fédérale la région dissidente du Tigré. Addis-Abeba a mis un point d’honneur à faire plier par la force des armes Mekele, la capitale de la région rebelle, et ceci dans les meilleurs délais.

Cet objectif, à en croire les autorités éthiopiennes, a été atteint. L’annonce a été faite d’abord samedi 28 novembre par le Premier ministre Abiy Ahmed en ces termes :

Le gouvernement fédéral a maintenant pris le contrôle total de la ville de Mekele.”

La guerre n’est pas terminée

Pour Addis-Abeba donc, non seulement l’assaut promis sur Mekele a eu lieu [jeudi 26 novembre], mais il a été couronné d’un succès total. En l’absence d’une confirmation de cette éclatante victoire par une source indépendante, l’on peut se permettre de garder un peu de distance par rapport aux annonces des autorités éthiopiennes. Cette attitude est d’autant plus justifiée que l’accès des humanitaires à la zone est empêché et que les communications sont toujours coupées.

PUBLICITÉ

À lire aussi: Tigré. En Éthiopie, une guerre dans les ténèbres

Mais quoi qu’il en soit, on peut prendre le risque de dire que le tout militaire n’est pas la solution pour résoudre ce genre de conflit. Et comme argument, on peut revisiter l’histoire de bien des pays d’Afrique et d’ailleurs. Le premier cas que l’on peut évoquer est

[...] Lire la suite sur Courrier international

À lire aussi :