Netflix poursuivi en justice par un candidat de "Love is Blind" qui dénonce des "conditions de travail inhumaines"
Ce n’est pas l’expérience à laquelle il s’attendait en participant à une émission de télé-réalité. Jeremy Hartwell, directeur d'une société de crédit immobilier à Chicago, a porté plainte contre Netflix et une société de production après sa participation à l’émission Love is Blind, nous apprend CNN.
Approché sur une application de rencontre par une directrice de casting, Jeremy Hartwell a pu finalement faire partie des prétendants de la deuxième saison de Love is Blind. Cette émission de dating a débuté en 2018 et met en scène 15 hommes et 15 femmes dans des « capsules », des chambres d’isolement où deux personnes peuvent discuter sans se voir afin de nouer des relations.
Avant même le tournage, Jeremy Hartwell a pu voir la production fouiller ses bagages, confisquer son portable et ses pièces d’identité.
Durant les jours suivants, il relate dans une interview à CNN avoir été interdit d’avoir un seul contact avec les autres candidats, mêmes masculins. Les participants ont ensuite été enfermés dans leurs chambres durant vingt-quatre heures, avec peu de nourriture et d’eau à leur disposition. Sur le tournage, le candidat dit avoir souffert du manque d’heures de sommeil lors de longues heures de tournage. Une fois revenu à l’hôtel, le candidat déclare ne pas avoir eu accès à de la nourriture ou de l’eau, tandis que la consommation d’alcool était encouragée par la production.
Face à ces « conditions de travail inhumaines » et une rémunération inadéquate pour le nombre d'heures travaillées, (...)
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