Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    7 479,40
    -51,32 (-0,68 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 894,02
    -8,58 (-0,18 %)
     
  • Dow Jones

    39 118,86
    -45,20 (-0,12 %)
     
  • EUR/USD

    1,0716
    +0,0007 (+0,06 %)
     
  • Gold future

    2 336,90
    +0,30 (+0,01 %)
     
  • Bitcoin EUR

    56 773,62
    +53,85 (+0,09 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 265,35
    -18,48 (-1,44 %)
     
  • Pétrole WTI

    81,46
    -0,28 (-0,34 %)
     
  • DAX

    18 235,45
    +24,90 (+0,14 %)
     
  • FTSE 100

    8 164,12
    -15,56 (-0,19 %)
     
  • Nasdaq

    17 732,60
    -126,08 (-0,71 %)
     
  • S&P 500

    5 460,48
    -22,39 (-0,41 %)
     
  • Nikkei 225

    39 583,08
    +241,54 (+0,61 %)
     
  • HANG SENG

    17 718,61
    +2,14 (+0,01 %)
     
  • GBP/USD

    1,2646
    +0,0005 (+0,04 %)
     

N26 : la fin de la galère pour les clients grâce à l’Iban français

Timon - Adobe Stock

Pour sa première conférence de presse française, N26 a répondu ce 5 juillet à ce qu’elle considère comme la “demande la plus forte de ses clients”. La banque allemande, valorisée 9 milliards d’euros, a annoncé le déploiement d’un Iban français à destination de ses nouveaux clients. Une nouveauté qui sera étendue à l’ensemble des 2,5 millions de comptes déjà ouverts dans les “semaines qui suivent”, a promis le directeur général France et Bénélux de N26, Jérémie Rosselli. Le mouvement avait déjà été initié en juillet 2022 par son concurrent anglais de toujours, Revolut.

Pour rappel, un Iban constitue la plaque d’immatriculation du compte. Elle est composée de 27 caractères en France, dont 2 lettres au début pour définir la provenance du compte. Actuellement, les clients de N26 peuvent constater que leurs coordonnées bancaires débutent par “DE” (désignant l’Allemagne). Cet indicateur sera donc progressivement remplacé par FR - pour “France” - avec pour objectif final d’achever l’ensemble des migrations d’ici la fin de l’année.

Loin d’être un gadget futile, l’Iban français permettra de régler nombre de tracasseries du quotidien pour les clients : “Nos clients pouvaient être victimes d’une pratique illégale que l’on appelle la discriminations à l’Iban, explique Jérémie Rosselli. Ils ne disposaient pas des mêmes possibilités que le reste des particuliers français. On a tenté de faire appliquer la loi, avant de comprendre que la solution la plus pragmatique était de déployer un Iban local.” (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite