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Non, il n’y a toujours pas de preuve de l’existence du monstre du Loch Ness

De nouvelles découvertes scientifiques relanceraient le débat sur l’existence du monstre du Loch Ness. Tout du moins, c’est une façon de présenter les choses. Mais, non, les travaux en question n’apportent pas réellement de nouveaux éléments sur cet animal imaginaire.

Les légendes racontent qu’un monstre séjournerait dans le lac du Loch Ness. Les histoires le décrivaient au début comme terrifiant — avant que les besoins du tourisme n’en fassent une description plus douce (jusqu’à le surnommer « Nessie » dans les brochures). Sans compter, évidemment, tous les canulars et photos trafiquées qui pullulent entre les années 1930 et nos jours. Mais cet animal légendaire peut-il avoir une existence en dehors de nos imaginaires ? La réponse reste non.

Les illustrations du monstre peuvent faire penser à certaines espèces. Parmi elles, la plus évoquée est le plésiosaure. Les premiers fossiles ont été mis au jour en 1823, par l’archéologue Mary Anning. S’il fait penser au monstre du Loch Ness, c’est en raison de sa tête de reptile, de son corps allongé, affublé d’un long cou et de quatre longues nageoires. C’est ainsi que l’industrie touristique écossaise en a rapidement fait sa source : les plésiosaures ne seraient pas éteints et le monstre du Loch Ness en ferait partie.

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En plus de l’absence totale et absolue de preuves venant nourrir une telle suggestion, ils étaient des animaux marins et ne pouvaient donc pas se retrouver dans un lac. Mais voilà que de nouvelles études,

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