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Rachat d'Activision Blizzard : le pari très coûteux de Microsoft pour se renforcer dans le «gaming»

Daniel Boczarski/WireImage

Après un refus en avril, Microsoft avait soumis fin août à l'autorité britannique une version amendée de son projet de rachat de l'éditeur américain de jeux vidéo, et celle-ci est «autorisée par la CMA», a annoncé le régulateur britannique dans un communiqué. Ce méga rachat à 69 milliards de dollars, annoncé en janvier 2022, est un très coûteux pari de Microsoft pour se renforcer dans le «gaming», et aider sa console à succès Xbox à rivaliser avec la PlayStation de Sony.

Cette acquisition fera de Microsoft le troisième acteur mondial du jeu vidéo en termes de chiffre d'affaires derrière Tencent et Sony, passant ainsi devant Apple. Microsoft prévoit dans la nouvelle version de son projet de rachat des cessions notables : les droits de jeux en ligne d'Activision Blizzard - dont ceux des succès planétaires «Call of Duty» et «Candy Crush» - vont être vendus au français Ubisoft. Cette cession concerne les jeux en ligne («cloud gaming» ou «cloud streaming») PC et console d'Activision produits au cours des 15 prochaines années (hors espace économique européen) et «empêchera Microsoft de bloquer la concurrence dans le domaine (...) alors que ce marché décolle», s'est félicitée la CMA.

Le régulateur avait donné fin septembre un accord provisoire mais faisait état de «préoccupations résiduelles limitées», liées à des craintes que Microsoft puisse contourner ou ne pas appliquer certaines dispositions de l'accord avec Ubisoft. Le régulateur assure vendredi que les assurances données par Microsoft (...)

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