Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    7 479,40
    -51,32 (-0,68 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 894,02
    -8,58 (-0,18 %)
     
  • Dow Jones

    39 118,86
    -45,20 (-0,12 %)
     
  • EUR/USD

    1,0716
    +0,0007 (+0,06 %)
     
  • Gold future

    2 336,90
    +0,30 (+0,01 %)
     
  • Bitcoin EUR

    56 733,18
    +535,11 (+0,95 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 265,99
    -17,84 (-1,39 %)
     
  • Pétrole WTI

    81,46
    -0,28 (-0,34 %)
     
  • DAX

    18 235,45
    +24,90 (+0,14 %)
     
  • FTSE 100

    8 164,12
    -15,56 (-0,19 %)
     
  • Nasdaq

    17 732,60
    -126,08 (-0,71 %)
     
  • S&P 500

    5 460,48
    -22,39 (-0,41 %)
     
  • Nikkei 225

    39 583,08
    +241,54 (+0,61 %)
     
  • HANG SENG

    17 718,61
    +2,14 (+0,01 %)
     
  • GBP/USD

    1,2646
    +0,0005 (+0,04 %)
     

Logement : pourquoi la crise risque de s'amplifier

Pascale Gueret/Adobe Stock

Le ton monte dans la filière professionnelle du logement. L’Alliance pour le logement, qui rassemble dix syndicats du secteur, du bâtiment aux architectes en passant par les promoteurs et les constructions de maisons individuelles ou encore les agents immobiliers et les administrateurs, dénonce «un incompréhensible abandon» de la cause. Le ministre chargé du dossier ferraille et qui connaît ses valeurs et son engagement, d’abord prouvé dans sa métropole de Dunkerque, ne saurait douter qu’il mène d’âpres combats au sein même de l’exécutif. La dernière prise de parole de la fédération de l’amont de la filière, la Fédération nationale du bâtiment, par la voix de son président Olivier Salleron, fait trembler : 150 000 suppressions d’emplois sont annoncées pour conséquence de l’entrée en récession du secteur de la construction. Le président de la Fnaim prévoit de son côté des fermetures d’agences en nombre inédit. On peut s’attendre en outre le 1er février à la publication du rapport annuel de la Fondation Abbé Pierre qui constate une accentuation du mal logement dans notre pays.

Dans le même temps, l’exécutif garde imperturbable le cap du budget étique -sans h- pour le logement, qui ne donne assez d’oxygène ni aux primo-accédants dans le neuf comme dans l’existant rénové, ni aux organismes HLM pour la construction locative sociale, ni aux investisseurs privés. La question se pose, cruelle : comment l’exécutif peut-il laisser se poursuivre cette descente aux enfers ? L’analyse doit (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Dans cette résidence HLM, les habitants doivent régler entre 300 et 600 euros de chauffage supplémentaire
Rénovation énergétique : les perdants et les gagnants de la réforme de MaPrimeRénov’ en 2024
MaPrimeRénov’ 2024 : la liste des travaux éligibles et le montant des aides, selon vos revenus
Peut-on acheter un appartement et le mettre au nom de son enfant ?
Airbnb : l'abattement fiscal sur les logements réduit de moitié par le Gouvernement... par erreur