Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 219,14
    +31,49 (+0,38 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 085,08
    +30,67 (+0,61 %)
     
  • Dow Jones

    39 512,84
    +125,08 (+0,32 %)
     
  • EUR/USD

    1,0772
    -0,0012 (-0,11 %)
     
  • Gold future

    2 366,90
    +26,60 (+1,14 %)
     
  • Bitcoin EUR

    56 416,23
    -2 214,21 (-3,78 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 257,34
    -100,67 (-7,41 %)
     
  • Pétrole WTI

    78,20
    -1,06 (-1,34 %)
     
  • DAX

    18 772,85
    +86,25 (+0,46 %)
     
  • FTSE 100

    8 433,76
    +52,41 (+0,63 %)
     
  • Nasdaq

    16 340,87
    -5,40 (-0,03 %)
     
  • S&P 500

    5 222,68
    +8,60 (+0,16 %)
     
  • Nikkei 225

    38 229,11
    +155,13 (+0,41 %)
     
  • HANG SENG

    18 963,68
    +425,87 (+2,30 %)
     
  • GBP/USD

    1,2525
    +0,0001 (+0,01 %)
     

L'entreprise agroalimentaire Cofigeo met 800 salariés au chômage technique en raison de la crise énergétique

© ALLILI MOURAD/SIPA

La flambée des prix de l’énergie touche un grand nombre d’entreprises en France. C’est le cas du groupe agroalimentaire Cofigeo qui détient William Saurin , Garbit, Raynal ou encore Roquelaure, et Zapetti. Ce lundi, l’entreprise a dû mettre 800 salariés sur 1 200 au chômage technique après avoir arrêté sa production sur quatre de ses huit sites en France. Au début du mois de décembre, Cofigeo avait annoncé, comme le relayait l’AFP, que cette fermeture serait actée dès le 2 janvier 2023.

Une « hausse spectaculaire de ses coûts d’énergie »

Les sites concernés sont ceux de Capdenac (Aveyron), Pouilly-sur-Serre (Aisne), Camaret-sur-Aigues (Vaucluse) et Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne). Un accord d'activité partielle de longue durée (APLD) va être appliqué pour les 800 employés concernés. Ils toucheront une indemnité équivalente à environ 70 % de leur salaire.

Dans un communiqué sorti le 6 décembre dont se fait l’écho l’AFP, l’entreprise a fait savoir que son objectif était de « faire face à la hausse spectaculaire de ses coûts d'énergie (gaz et électricité nécessaires à la cuisson et à la stérilisation des plats et recettes cuisinés), qui seront multipliés par 10 dès le début de l’année  ».

PUBLICITÉ

Lire aussi - La Poste, BNP, université de Perpignan… Voici les champions d’économies d’énergie de l’année

Le président du groupe Cofigeo, Mathieu Thomazeau, parle d’une facture énergétique annuelle « passant de 4 à 40 millions d’euros » auprès de l’AFP. L’idée est également de protéger « les ...


Lire la suite sur LeJDD