Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 088,24
    +71,59 (+0,89 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 006,85
    +67,84 (+1,37 %)
     
  • Dow Jones

    38 239,66
    +153,86 (+0,40 %)
     
  • EUR/USD

    1,0699
    -0,0034 (-0,32 %)
     
  • Gold future

    2 349,60
    +7,10 (+0,30 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 747,32
    -1 062,22 (-1,75 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 383,71
    -12,82 (-0,95 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,66
    +0,09 (+0,11 %)
     
  • DAX

    18 161,01
    +243,73 (+1,36 %)
     
  • FTSE 100

    8 139,83
    +60,97 (+0,75 %)
     
  • Nasdaq

    15 927,90
    +316,14 (+2,03 %)
     
  • S&P 500

    5 099,96
    +51,54 (+1,02 %)
     
  • Nikkei 225

    37 934,76
    +306,28 (+0,81 %)
     
  • HANG SENG

    17 651,15
    +366,61 (+2,12 %)
     
  • GBP/USD

    1,2491
    -0,0020 (-0,16 %)
     

La croissance en zone euro au 4e trimestre conforme aux attentes

LE PIB DE LA ZONE EURO

BRUXELLES (Reuters) - La zone euro a connu au quatrième trimestre une croissance identique à celle des trois mois précédents, tandis que sa production industrielle a fléchi en décembre, ce qui représente un ralentissement par rapport au premier semestre et plaide pour un nouveau coup de pouce monétaire de la Banque centrale européenne (BCE).

Eurostat a annoncé vendredi une croissance de 0,3% du PIB au quatrième trimestre, d'un trimestre sur l'autre, comme au troisième trimestre et comme prévu par les économistes interrogés par Reuters. Par rapport au quatrième trimestre 2014, le PIB de la zone euro a crû de 1,5%, là encore comme prévu.

Ces données sont une première estimation.

En décembre, la production industrielle de la zone euro a diminué de 1% mais a augmenté de 1,3% en glissement annuel. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient une hausse mensuelle de 0,3% et annuelle de 0,8%.

PUBLICITÉ

La croissance est insuffisante pour créer suffisamment d'inflation et porter cette dernière vers l'objectif de la Banque centrale européenne, soit un petit peu moins de 2%, disent les économistes. L'inflation était de 0,4% en janvier.

"Nous pensons qu'un nouvel assouplissement monétaire s'impose, de nouvelles baisses des taux s'annonçant à partir de mars", dit Nick Kounis (ABN Amro). "Toutefois, des coups de pouce budgétaires, sous la forme d'investissements publics pour les pays disposant d'une marge de manoeuvre, et davantage de réformes structurelles sont aussi nécessaires pour appuyer la politique monétaire".

(Jan Strupczewski, Wilfrid Exbrayat pour le service français)