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L’Allemagne pourrait bien gagner son coup de poker pour l’e-fuel

L’Allemagne met les bouchées doubles pour faire accepter son caprice d’intégrer les carburants de synthèses aux accords européens. La fin des moteurs à combustion interne en 2035 pourrait bien ne concerner que l’essence et le diesel, mais pas les moteurs au e-fuel.

Après le blocage de la signature du 7 mars 2023, le gouvernement allemand veut proposer rapidement d’autres textes à faire valider par la Commission européenne. Un nouvel accord doit intégrer les carburants de synthèse (e-fuel) comme alternative technologique en 2035. Pour arriver à son objectif, l’Allemagne tente de convaincre d’autres pays d’appuyer son projet.

En plus de l’Italie et de la Pologne, l’alliance formée par l’Allemagne a intégré dans les discussions la République tchèque, la Roumanie, la Hongrie et la Slovaquie. Les ministres des Transports des 7 pays se sont rencontrés à Strasbourg ce 13 mars, pour apporter des modifications aux textes de l’Union européenne concernant l’interdiction des moteurs à combustion interne en 2035.

De nouveaux soutiens de l’Allemagne pour sauver le soldat « e-fuel »

Les 7 pays partagent le même scepticisme face au retrait complet des voitures thermiques d’ici à 2035. L’Allemagne peut donc trouver, auprès des ministres de ces pays, un soutien pour l’intégration d’une catégorie spécifique pour les véhicules roulants avec des carburants de synthèse, prétendument neutre en carbone, dans les accords européens.

L'e-fuel est produit en laboratoire // Source : Porsche
L'e-fuel est produit en laboratoire // Source : Porsche

Les arguments du ministre des Transports allemand,

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