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Législatives 2024 : nos cartes des désistements et des maintiens face au RN, par circonscription

Illustration Capital

En moins de 48 heures, les désistements à la chaîne ont bouleversé la nature de la confrontation électorale qui va se jouer dimanche. Alors que l’heure limite des dépôts de candidatures a sonné à 18 heures mardi, le décor est désormais quasiment planté pour le second tour des élections législatives, dimanche 7 juillet. Pour rappel, le premier tour, qui a eu lieu dimanche 30 juin, a vu le Rassemblement national (RN) arriver en tête avec 29,26% des voix, suivi du Nouveau Front populaire (NFP) avec 27,99% des suffrages, et de la majorité présidentielle Ensemble, qui a convaincu 20,04% des électeurs, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur.

Avec une participation record (66,71%) et un faible nombre de candidats concentrés sur trois grandes forces politiques (RN, NFP, Ensemble), le nombre de qualifications pour le second tour a explosé, donnant lieu à de nombreuses triangulaires. Au lendemain du vote, le ministère de l’Intérieur faisait ainsi état de 306 circonscriptions concernées, dont la majeure partie (299) incluait un candidat du Rassemblement national. Cinq circonscriptions se retrouvaient même avec une quadrangulaire, c’est-à-dire avec quatre candidats en lice pour le second tour.

Dès le soir du premier tour, face aux scores sans précédent du parti de Jordan Bardella, l’alliance de gauche a demandé à ses candidats du Nouveau Front populaire de se retirer lorsqu’ils étaient placés en troisième position, afin de faire échec aux candidats RN risquant d’être propulsés à l’Assemblée. (...)

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